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  • Solishop, une boutique handi-solidaire en ligne

    Solishop est une boutique en ligne handi-solidaire. Elle propose aux professionnels d’acheter du matériel fabriqué par des structures du secteur protégé et adapté.

    Soutenir l’activité du secteur adapté et protégé : telle est la raison d’être de Solishop.fr, une boutique en ligne dédiée aux professionnels. Celle-ci propose uniquement des produits fabriqués dans des structures de travail adapté et protégé.  Lancée début 2016, cette boutique propose ainsi une gamme de produits variés, allant de l’épicerie fine à la décoration d’intérieur, sans oublier les produits de bien-être et les fournitures de bureau.

    Tous les produits proposés par Solishop font également l’objet d’un label « handi-fabriqué dans nos régions ».

    La présence de ce label assure aux consommateurs une totale transparence sur l’origine des produits et leur permet de découvrir leur qualité, souvent méconnues. Ce projet est porté par l’association Handicap Travail Solidarité qui développe différents projets permettant d’agir sur la création et le maintien d’emplois ainsi que sur l’insertion sociale des personnes en situation de handicap.

    « En facilitant l’accès aux produits du secteur adapté et protégé, Solishop permet d’en accroître la visibilité, d’augmenter leur chiffre d’affaires et de favoriser l’emploi des personnes en situation de handicap, précise la société. Cela permet également aux entreprises de mieux remplir leurs obligations légales d’emploi de personnes en situation de handicap ».

    Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site : https://solishop.fr/Solishop-730x565.jpg

    Source : Handirect 

  • Location de Mobil Home adapté PMR dans Camping 4**** le lac des rêves situé à Lattes (34)

    Location Mobil home adapté PMR Tout confort.Deux chambres, un lit deux personnes, un lit une personne, un canapé lit, salon climatisé, télévision, cuisine tout équipée, réfrigérateur, micro onde, four, plaques de cuisson, salle de bain avec douche, lave linge, terrasse, salon de jardin, rampe d'accès pour les fauteuils roulant, emplacement parking, dans camping " le lac des rêves" 4**** à Lattes(34) dans l'hérault à 5 Km de Montpellier.situé au calme.parcelle soleil et ombre, transats, terrasse.

    De nombreuses activités  sont possibles et disponibles pour se divertir.

    Camping ouvert du 11 Mars au 11 Novembre.Location à la semaine du Samedi au Samedi. De 250€ à 850€ SELON SAISON.

    Pour plus d'informations vous pouvez joindre Christine MPONGO la propriétaire de ce Mobil Home au 0662023307 ou par mail christine.cat@hotmail.fr2.jpegPhoto 262.jpegPhoto_206.jpeg

  • Cerveaux mouillés d’orages : un film fort sur l’amour hors normes

    Photographe indépendante, Karine Lhémon a réalisé Cerveaux mouillés d’orages, son premier long métrage documentaire. L’histoire de Laurence et Hélène, un couple en situation de handicap. À l’image de ces deux héroïnes, ce film conjugue « force et souffle réjouissant de liberté ». Il sera projeté le mardi 14 février au Forum des images à Paris. Lecteurs franciliens de faire-face.fr, il y a des places à gagner !

    « J’aime tout en elle… Elle a tout ouvert dans ma vie. Je respire enfin. » Elle fixe la caméra avec de grands yeux d’enfant et ce magnifique sourire qui éclaire par intermittence son visage.  Laurence, 53 ans, partage la vie d’Hélène, 44 ans.

                                                                                                                                                                                     Suite à un accident de voiture pour l’une et à un accident vasculaire cérébral pour l’autre à l’âge de 20 ans, ces 

    Cerveaux-mouilles-orage-660x330.gifmiraculées sont toutes les deux en situation de handicap. En couple depuis 2011, elles se sont mariées en mars 2014.

    Pour lire l'article dans son intégralité : http://www.faire-face.fr/2017/02/03/cerveaux-mouilles-dorages-karine-lhemon-handicap/

     

    Source : faire face 

  • Marie-Hélène, aveugle, veut ouvrir sa crêperie dans le noir

    La main tendue au-dessus de sa crêpe, Marie-Hélène signale à son formateur qu"'il manque de la pâte", "je sens des trous, la chaleur dégagée est plus forte" : la stagiaire, aveugle, suit une formation de maître-crêpier à Rennes. "Il a fallu passer une première barrière, qu'on m'accepte dans la formation malgré le fait qu'elle ne soit pas adaptée", explique Marie-Hélène Dougnac, une enseignante-chercheuse de formation qui élève seule ses quatre enfants sur l'Ile de Noirmoutier.

    Une formation sur mesure

    "Si j'attends qu'une formation soit adaptée, je vais attendre toute ma vie !", lance l'enseignante de 46 ans, qui a perdu l'usage de la vue à 29 ans. Fin 2016, elle contacte "un peu par hasard" l'école de cuisine EMC³ à Rennes, où l'un des formateurs mûrit déjà l'idée d'une formation adaptée à son handicap. Le chef Denis Bertrand la rencontre pour déterminer ses besoins et sa motivation et finit par se laisser convaincre et autoriser Marie-Hélène à intégrer l'école. Aidé de sa fille, ergothérapeute, le chef va organiser le découpage
    journalier de la formation qui s'étale sur cinq jours : déplacement dans la cuisine, préparation de la pâte à crêpes, maniement du matériel professionnel..

     

    Pour lire l'article dans son intégralité : https://informations.handicap.fr/art-creperie-aveugle-formation-853-9542.php

    Source : Handicap.frmarie-helene-aveugle-veut-ouvrir-sa-creperie-dans-le-noir-9542.jpg

  • Les Français ont tout compris à l’AAH mais pas à la PCH

    Les Français ont tout compris à l’AAH mais pas à la PCH

    Une grande majorité de Français jugent normal que l’AAH soit supérieure au RSA. En revanche, plus de la moitié pensent qu’il faudrait réserver la prestation de compensation du handicap (PCH) aux personnes à faibles revenus.

    Est-il légitime que le montant de l’allocation adulte handicapé (AAH, 808 €) soit supérieur à celui du RSA (535 € pour une personne seule) ? Oui, estime la très grande majorité des Français. 85 % jugent ainsi qu’il est « normal qu’une personne handicapée ait un revenu minimum supérieur à une personne non handicapée », selon le baromètre 2015 de la Drees, dont les résultats viennent d’être rendus publics. Ils ne sont que 15 % à penser que « les minima sociaux devraient être les mêmes, que la personne soit handicapée ou non ».

    AAH à vie, RSA temporaire

    L’étude d’opinion du service des études du ministère des Affaires sociales ne détaille pas les raisons de cette forte adhésion. Sans doute les personnes interrogées ont-elles conscience que l’AAH est une allocation à vie, le handicap étant irréversible, alors que le RSA a vocation à être temporaire, le temps de revenir à meilleur fortune.

    Sans oublier que les allocataires de l’AAH doivent souvent faire face à des restes à charge pour leurs dépenses de santé ou d’aides techniques et humaines. Les remboursements de la Sécurité sociale et la prestation de compensation du handicap (PCH) ne suffisent pas, en effet, à tout financer.

    1 Français sur 2 veut une PCH sous conditions de ressources

    Aujourd’hui, la PCH est versée sans conditions de ressources aux personnes rencontrant des difficultés dans la réalisation d’activités quotidiennes. Sur cette question, les Français sont plus divisés.

    Une petite moitié seulement (46 %) estiment qu’une « aide financière pour compenser les surcoûts du handicap doit être accordée à toutes les personnes se trouvant dans cette situation quel que soit leur niveau de revenu ». A contrario, 54 % pensent qu’elle doit être « réservée aux personnes disposant de faibles revenus ».

    Très chère compensation

    Il faut très certainement voir dans ce résultat la méconnaissance du coût de la compensation. En matière d’aides humaines et d’aides techniques, la facture grimpe vite. Deux heures d’aide humaine quotidienne assurées par un service prestataire coûtent, environ, 1 500 € par mois. Et en 2014, le coût moyen d’un fauteuil électrique avoisinait les 23 000 €, dont moins de la moitié remboursée par la Sécurité sociale.

    Si la PCH était effectivement « réservée aux personnes disposant de faibles revenus », toutes les autres auraient donc bien du mal à vivre dignement. Franck Seuret

    Source de l’article : http://www.faire-face.fr/

  • Le droit de vote pour toutes les personnes sous tutelle

    Faut-il toujours autoriser le droit de vote des personnes handicapées placées sous tutelle ? Le journal La Croix rapporte le débat de ce jeudi 26 janvier à la Commission nationale consultative des droits de l’homme.

    « On ne peut pas, d’un côté, affirmer que les personnes handicapées sont des citoyens comme les autres et, de l’autre, leur retirer l’attribut le plus emblématique de la citoyenneté», s’expriment les auteurs d’un projet d’avis de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH). Les membres de cette instance débattaient de ce texte, ce jeudi 26 janvier. L’enjeu ? En finir ou pas avec certaines interdictions de droit de vote prononcées, par les juges, pour les personnes sous tutelle.

    D’après l’article L5 du Code électoral le juge « statue sur le maintien ou la suppression du droit de vote de la personne protégée (…) lorsqu’il ouvre ou renouvelle une mesure de tutelle ». Il est aidé dans sa décision par un certificat médical précisant l’opinion du médecin. Sur près de 350 000 personnes – séniles, handicapées mentales ou psychiques – aujourd’hui placées sous tutelle, entre un quart et un tiers sont privées de leur droit de vote.

    À chaque juge sa pratique

    « Exprimer son suffrage est-il un droit ou s’agit-il d’un privilège réservé à ceux en pleine possession de leurs facultés ? Quels critères retenir pour permettre aux uns de se rendre aux urnes et l’interdire aux autres ? », interroge Le journal La Croix dans ses colonnes.

    « Un individu présentant un handicap mental lourd risque de voir son suffrage dévoyé », prévient Émilie Pecqueur présidente de lAssociation nationale des juges d’instance. Elle confie sa pratique personnelle : « Je cherche surtout à savoir s’il s’intéresse à la politique ou est attaché au fait de pouvoir voter. Et si c’est le cas, je maintiens son droit. » « À chaque juge, donc, sa pratique. Et c’est d’ailleurs une des critiques de plus adressées par la CNCDH au système actuel », commente le journal.

    Le même jour, La Croix accorde un entretien à Josef Schovanec, personne autiste, écrivain et philosophe. Pour lui, « il est complètement anormal de devoir saisir la justice pour avoir le droit de mettre un bulletin dans l’urne. Quand on voit le vote de certaines personnes censées être saines d’esprit ». Signalé par Élise Descamps

    À lire sur la-croix.com

    Source de l’article : http://www.faire-face.fr/

  • Conférence sur la sclérose en plaques

    Le Réseau PACASEP vous informe qu'une conférence/débat aura lieu sur Marseille SAMEDI 18 MARS 2017 de 14H00 à 18H00 PARC CHANOT (SALLE ENDOUME) !

    Affiche Marseille 2017.jpg

  • Repas partage + Chandeleur

    Bonjour à tous,

     

    Mardi prochain, le 07/02/2017 aura lieu un repas partage. Par la suite de ce repas, nous organiserons un atelier afin de cuisiner des crêpes pour pouvoir les déguster lors du goûter.

     

    Si vous souhaitez participer, merci de nous contacter d'ici demain maximum afin de nous tenir au courant de votre présence, et de ce que vous mènerez.

    Nous vous demandons une participation de 2€/personnes pour acheter les ingrédients nécessaire à l'atelier.

     

    Nous espérons vous voir nombreux !

     

    Contact :

    DELHOME Charlotte

    animation.apf84@gmail.com

    04.90.16.47.40

  • Et les Mistrals gagnants : un film émouvant sur grand écran

    Et les Mistrals gagnants sort mercredi 1er février au cinéma. Ce documentaire poignant d’Anne-Dauphine Julliand met en lumière la force vitale de mômes condamnés à cause de graves pathologies.

    Dans sa chanson Mistral gagnant, Renaud chante « il faut aimer la vie et l’aimer même si, le temps est assassin (…) ». Même si la maladie nous emportera un jour ou l’autre. Comme Ambre, Camille, Charles, Imad et Tugdual, les enfants de ce documentaire signé Anne-Dauphine Julliand qui sort en salles ce 1er février.

    Âgés de 6 à 9 ans, ces cinq bambins sont atteints de maladies incurables, le savent…. et sont heureux quand même. Ils jouent, rient, rêvent, se disputent et, parfois, souffrent et pleurent, bien sûr. Mais ils aiment la vie, ni plus, ni moins.

    « Ajouter de la vie aux jours »

    L’auteure du film a elle-même perdu un enfant. Elle est d’ailleurs connue pour Deux Petits Pas sur le sable mouillé et Une Journée particulière, deux livres dans lesquels elle évoque sa petite fille, Thaïs, porteuse d’une leucodystrophie métachromatique, décédée en 2007.

    Depuis cette expérience douloureuse, elle a une devise : « Si l’on ne peut pas ajouter des jours à la vie, on peut ajouter de la vie aux jours. » Ces enfants le prouvent. À travers ce film, le spectateur les suit dans l’ordinaire de leur quotidien, d’où surgit de l’extraordinaire.

    Des enfants incroyablement enthousiastes

    Comment expliquer l’incroyable enthousiasme de ces mômes ? Quel est le secret de leur vitalité ? « Ils vivent dans l’instant. Avec humour et surtout l’énergie optimiste de l’enfance », répond la réalisatrice.

    Une sagesse qui se patine d’une frappante maturité, donnant lieu à des phrases inouïes pour nos oreilles d’adultes : « Quand je serai morte, je ne serai plus malade. » Dixit Camille, qui, avec ses camarades, bouscule nos réflexes conditionnés sur la maladie et la mort.

    Pour voir la bande annonce du film : http://www.faire-face.fr/2017/01/31/mistrals-gagnants-film-maladie-enfants/

    Source : faire face