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  • Chercher Élections : accompagné jusqu'aux urnes en cas de handicap

    elections-accompagne-jusqu-aux-urnes-en-cas-de-handicap-9586.jpgEn France, printemps 2017 rimera avec élections présidentielles (23 avril et 7 mai) et législatives (4 et 18 juin). Pour se rendre aux urnes, les personnes en situation de handicap pourront parfois compter sur l'entourage… Mais pas que ! Pour que le vote soit aussi simple et accessible que celui des personnes valides, le réseau Age d'or services, spécialisé dans l'aide à domicile, propose un nouveau mode d'accompagnement personnalisé.

    Le principe est simple

    Sur simple réservation, un intervenant vient chercher la personne qui en a besoin à son domicile et l'accompagne, à pied ou avec un véhicule, jusqu'à l'isoloir, avant de la raccompagner chez elle. Une initiative bienvenue pour remplir son devoir citoyen sans souci de mobilité ou d'accessibilité.

    Services personnalisables

    Spécialisé dans l'aide à domicile, le réseau Âge d'or services (site en lien ci-dessous) définit ses prestations en fonction de la distance à parcourir et des besoins de la personne. À noter que ces prestations permettent de bénéficier d'une réduction ou d'un crédit d'impôt de 50% des sommes versées.


    © Olivier Tuffé / Fotolia

     

    Source de l'article : https://www.handicap.fr/

  • Le droit de vote pour toutes les personnes sous tutelle

    Faut-il toujours autoriser le droit de vote des personnes handicapées placées sous tutelle ? Le journal La Croix rapporte le débat de ce jeudi 26 janvier à la Commission nationale consultative des droits de l’homme.

    « On ne peut pas, d’un côté, affirmer que les personnes handicapées sont des citoyens comme les autres et, de l’autre, leur retirer l’attribut le plus emblématique de la citoyenneté», s’expriment les auteurs d’un projet d’avis de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH). Les membres de cette instance débattaient de ce texte, ce jeudi 26 janvier. L’enjeu ? En finir ou pas avec certaines interdictions de droit de vote prononcées, par les juges, pour les personnes sous tutelle.

    D’après l’article L5 du Code électoral le juge « statue sur le maintien ou la suppression du droit de vote de la personne protégée (…) lorsqu’il ouvre ou renouvelle une mesure de tutelle ». Il est aidé dans sa décision par un certificat médical précisant l’opinion du médecin. Sur près de 350 000 personnes – séniles, handicapées mentales ou psychiques – aujourd’hui placées sous tutelle, entre un quart et un tiers sont privées de leur droit de vote.

    À chaque juge sa pratique

    « Exprimer son suffrage est-il un droit ou s’agit-il d’un privilège réservé à ceux en pleine possession de leurs facultés ? Quels critères retenir pour permettre aux uns de se rendre aux urnes et l’interdire aux autres ? », interroge Le journal La Croix dans ses colonnes.

    « Un individu présentant un handicap mental lourd risque de voir son suffrage dévoyé », prévient Émilie Pecqueur présidente de lAssociation nationale des juges d’instance. Elle confie sa pratique personnelle : « Je cherche surtout à savoir s’il s’intéresse à la politique ou est attaché au fait de pouvoir voter. Et si c’est le cas, je maintiens son droit. » « À chaque juge, donc, sa pratique. Et c’est d’ailleurs une des critiques de plus adressées par la CNCDH au système actuel », commente le journal.

    Le même jour, La Croix accorde un entretien à Josef Schovanec, personne autiste, écrivain et philosophe. Pour lui, « il est complètement anormal de devoir saisir la justice pour avoir le droit de mettre un bulletin dans l’urne. Quand on voit le vote de certaines personnes censées être saines d’esprit ». Signalé par Élise Descamps

    À lire sur la-croix.com

    Source de l’article : http://www.faire-face.fr/

  • Election partielle du conseil departemental

     

    Nous vous sollicitons pour ce moment essentiel de la vie démocratique de notre association que représente l'élection des membres du Conseil départemental de Vaucluse. Celle-ci s'inscrit dans la démarche adoptée par les adhérents de l'APF lors du Congrès de Toulouse en juin 2003.

     

    Pour mémoire, le Conseil Départemental, par délégation du Conseil d'Administration :

     

    • met en œuvre les orientations politiques nationales de l'Association des Paralysés de France et définit les orientations politiques départementales,
    • participe à la définition des actions ressources de la délégation afin de permettre la réalisation des orientations décidées
    • organise parmi les adhérents, la représentation politique de l'APF dans le département,
    • donne un avis préalable sur les projets du département soumis au Conseil d'Administration,
    • prépare et arrête l'ordre du jour de l'Assemblée Départementale,
    • est à l'écoute des adhérents, valide les groupes "initiative" du département
    • se tient informé des activités et des animations des groupes relais,
    • rend compte de son mandat aux adhérents au cours de l'assemblée départementale

     

    Pour plus de précisions, vous pouvez  vous rapprocher de vos élus et/ou de la délégation.

    Souhaitant vivement votre implication dans cette démarche

    PS : Vous voudrez bien noter que, pour être éligible, vous devez être adhérent au moins depuis le 31 août 2008  et à jour de votre cotisation au 31 aout 2009.

     

     

    Pour le Comité de pilotage

     

    Déguène Niang

    Directrice de la délégation départementale