Aidants - Page 7

  • Le Kit des aidants : Premier Kit en ligne à destination des aidants

    On estime que 15% des employés d'une entreprise accompagnent un proche à travers une maladie, un handicap. Ce sont des aidants. Ils ne se manifestent que très rarement auprès de leur employeur, et leur accompagnement est un enjeu majeur pour les entreprises. Stressés, proches du burn-out lorsqu'ils ne sont pas épaulés, les études montrent qu'ils deviennent au contraire des atouts humains et économiques pour une entreprise dès lors qu'elle décide de les soutenir.

    Employeurs ? Aidants en entreprise ? Ce kit vous donne les clefs d'une conciliation vie privée / vie professionnelle sereine.
    Au delà de chaque situation singulière, ce qui lie l'aidant et l'aidé avant et pendant l'accompagnement de sa perte d'autonomie, c'est le lien affectif.

    Ce kit est donc tout à fait utile pour toute personne qui aide un proche.

    Il se décline en plusieurs ITEMS :

    - Trouver du Soutien

    - A la Maison de retraite

    - Besoin de répit

    - A la maison

    - En entreprise

    - La santé 

    N'Hésitez pas à découvrir le site : http://lekitdesaidants.fr

  • Offrir du répit des aidants : l'Etat s'engage ?

    S'offrir une escapade pendant qu'un professionnel s'occupe nuit et jour de son proche malade ou âgé à son domicile : un rapport parlementaire rendu public le 22 mars 2017 préconise d'expérimenter le dispositif du "baluchonnage" pour "donner un répit indispensable" à ceux qui assument la charge d'aidant familial.

    Baluchonnage ou relayage

    Créée au Canada et instaurée également en Belgique, cette aide rebaptisée "relayage" par la députée socialiste Joëlle Huillier, qui a conduit le rapport, "pallie l'absence temporaire d'un aidant et s'adresse à des personnes en perte d'autonomie pour lesquelles le changement d'environnement causerait une désorganisation importante et engendrerait une perte de repères". Ce "relayage" permet de quitter son domicile en laissant la personne que l'on accompagne aux soins d'un tiers en toute confiance.

    Au moins deux jours et une nuit

    Mais pour qu'il offre un réel bénéfice à l'aidant, il devrait être "d'au moins deux jours et une nuit soit 36 heures" et sa mise en place se heurte par conséquent à plusieurs difficultés en terme de financement et de législation liée au travail, selon ce rapport remis à la secrétaire d'Etat en charge des personnes âgées, Pascale Boistard. "La réglementation en vigueur contraint actuellement à faire se succéder plusieurs relayeurs. Or, les personnes en perte d'autonomie ne peuvent voir se succéder plusieurs personnes sans d'importantes difficultés", est-il expliqué.

    Pour lire l'article dans son intégralité : https://informations.handicap.fr/art-baluchonnage-repit-aidants-853-9687.php

    source : Handicap.fr

  • Forum bien être et conseils aux aidants familiaux

    Bonjour à Tous ;) Pour information : 

    Un forum bien être et conseils aux aidants familiaux se déroulera

    le Mardi 28 Mars 2017 de 13H30 à 17H30 à l'espace culturel Patrick Fabre à Vaison la  Romaine.

    L'entrée est libre.

    Il y aura des démonstrations : Mediation animale, socio-esthétique, médiation corporelle (danse) et artistique, massages relaxants, hypnothérapie.

    Renseignements: CLIC Haut Vaucluse  0645765810

  • Une salariée d’une banque a dû choisir entre son emploi et son enfant handicapé

    Elle voulait juste des horaires décalés, le matin et le soir, pour emmener son enfant handicapé à l’école et le récupérer. Bien mal lui en a pris : elle a perdu son emploi. Une affaire portée devant les prud’hommes. En vain.

    Concilier vie professionnelles et vie familiale n’a jamais été simple pour les femmes. Une chargée de compte dans une agence bancaire en région parisienne a même fini par renoncer à son travail. Maman d’un enfant handicapé, elle a démissionné, après s’être vu opposer un refus à sa demande d’aménagement d’horaires. Démission qu’elle impute à son employeur poursuivi aux prud’hommes. Mais cette juridiction l’a déboutée.

    Cette affaire, celle de Lætitia, une journaliste de l’Express la raconte. Elle rapporte l’échange entre les avocats et le président du Conseil lors de l’audience du 20 janvier 2017 et le verdict prononcé le 10 février.

    La RSE ne concerne que « les salariés frappés de handicap, pas leurs enfants »

    L’un explique que si elle a démissionné c’est parce que son employeur a exclu une rupture conventionnelle et analyse la situation comme un licenciement sans cause réelle et sérieuse. Il réclame indemnités et dommages et intérêts.  La supérieure de Lætitia lui aurait dit : « Si tu veux t’occuper de ton enfant handicapé, tu démissionnes. »

    L’autre rétorque qu’il ne s’agit ni d’un manquement grave ni d’un manque d’humanité. Il souligne que des solutions passagères lui ont été proposées (temps partiel, congé sabbatique…),  en attendant de mettre en place une mobilité. Ces solutions, elle n’en a pas voulue. Quid de la responsabilité sociétale et environnementale (RSE) de l’entreprise dans un tel cas ? Réponse de l’avocat de l’employeur : « Elle concerne les salariés frappés de handicap, pas leurs enfants. »

    Pas de réembauche possible pour Lætitia

    Aucune conciliation n’a été possible. Une réembauche encore moins. Les prud’hommes ont donc fini par trancher. Pour eux, il s’agit bien d’une démission et non d’un licenciement sans cause réelle et sérieuse. La banque devra néanmoins verser à Lætitia 25 000 € au titre de l’exécution déloyale du contrat de travail (du fait de l’absence de propositions de solutions) et 2 500 € pour couvrir ses frais d’avocat, de déplacements et autres correspondances. Signalé par Élise Jeanne

    À lire sur lentreprise.lexpress.fr

     

    Source de l'article : http://www.faire-face.fr/

  • ViMaRare, pour mieux vivre avec une maladie rare

    ViMaRare application mobile pour les maladies rares

    L’application mobile ViMaRare propose des outils et conseils pour aider les patients et leurs proches à gérer la maladie rare au quotidien.

    Pensée par les malades et pour les malades, en coopération avec leurs familles et les professionnels qui les accompagnent, ViMaRare est une application mobile dédiée aux patients touchés par une maladie rare et à leurs proches.

    Lancé par l’Alliance Maladies Rares et sa délégation Champagne-Ardenne, l’application ViMaRare a pour objectif d’aider le malade et sa famille à gérer le quotidien en centralisant, les informations utiles, générales et personnelles, notamment en situation d’urgence. C’est une application transversale utilisable pour toute maladie rare car elle est personnalisable par chaque utilisateur.

    ViMaRare a reçu le Label « Droits des usagers de la santé »

    Reconnue et soutenue par l’ARS Grand Est qui a financé sa mise en œuvre, ViMaRare a reçu en décembre 2015 le Label « Droits des usagers de la santé ». « Une maladie est dite rare quand elle concerne moins d’1 personne sur 2 000, commentent les créateurs de l’application. Les maladies sont rares mais pas les personnes atteintes. Actuellement, 3 millions de personnes sont concernées en France par une maladie rare. L’application a pour objectif d’informer sur les maladies rares et d’inciter le patient à être acteur de sa santé. La fonctionnalité d’envoi de notifications, informant sur les évènements maladies rares, permet de rompre l’isolement ».

    ViMaRare propose quatre grandes rubriques : Informations essentielles – Gérer sa maladie au quotidien – Accéder rapidement à ses documents et à ses contacts. L’application est téléchargeable gratuitement sur smartphone.

    Vous pouvez retrouver cette application sur les plateformes de téléchargement smartphones Androïd et Iphone.

     

    Source de l'article : http://www.handirect.fr/

  • Auxivision facilite le quotidien des personnes déficientes visuelles

    Simplifier le quotidien des personnes déficientes visuelles et de leurs aidants : Tel est l’objectif de l’application Auxivision qui leur est dédiée.

    Créée par Dowino, studio de création numérique lyonnais et Streetlab, filiale de l’Institut de la Vision, Auxivision est la première application communautaire regroupant toutes les informations essentielles pour les personnes déficientes visuelles et leurs aidants.

    « Comment retirer de l’argent au distributeur avec un handicap visuel ? Comment identifier et choisir ses vêtements ? Ces gestes simples du quotidien deviennent peuvent s’avérer particulièrement compliqués à effectuer pour une personne déficiente visuelle. Le rôle des proches est primordial mais l’absence ou le manque de formation peut accroître leurs difficultés », commentent les créateurs d’Auxivision.

    Ainsi l’appli donne accès à des contenus rédigés et mis à jour par des experts de l’Institut de la Vision de Paris, l’un des plus importants centres de recherche européens spécialisé dans les maladies de la vision. Elle propose également un espace forum, où les utilisateurs peuvent partager leurs conseils et retours d’expérience sur des problématiques du quotidien, ou solliciter l’aide de la communauté. Ils peuvent aussi poser ses questions à des spécialistes sélectionnés et invités par StreetLab.

    Auxivision est totalement paramétrable en matière d’accessibilité visuelle (contrastes et taille des caractères). Elle est compatible avec les logiciels courants de synthèse vocale, et accessible sur tablettes et smartphones.

    Source handirect 

  • Faire de Lyon la première métropole aidante de France

    La construction d’une maison de répit débutera à Lyon en mars 2017. Ce sera la première pierre d’un dispositif plus large baptisée « Métropole aidante ».

    Les 5 et 6 décembre derniers, la Fondation France Répit a organisé à Lyon la seconde édition des Rencontres francophones sur le répit. Un événement biennal destiné à réunir l’ensemble des acteurs concernés pour échanger et développer des pistes de réflexion pour l’avenir. Nous sommes allés à la rencontre d’Henri de Rohan-Chabot, délégué général de la Fondation France Répit.

    Quels sont les objectifs des Rencontres francophones sur le répit ?

    L’objectif est de réunir des aidants familiaux et professionnels autour de la question de l’accompagnement et des 9 millions de personnes en France qui prennent soin à domicile d’un proche malade, dépendant, en situation de handicap. Ceux qu’on appelle les aidants et qui ont besoin d’un accompagnement renforcé par rapport à ce qui existe aujourd’hui tant les situations d’épuisement sont fréquentes et appellent des réponses nouvelles. Le but est donc de réunir, une fois tous les deux ans, l’ensemble des acteurs – collectivités territoriales, associations de patients, gestionnaires d’établissements médico-sociaux ou sanitaires, familles concernées – faire progresser ensemble la cause du répit.

    Quelles ont été les particularités de cette seconde édition ?

    Cette édition proposait de grandes conférences animées par des orateurs reconnus dans leurs disciplines – notamment Pascal Jacob, les Professeurs Régis Aubry et Charles Gardou –  qui viennent apporter une approche anthropologique, sociologique ou philosophique. Nous avons également proposé huit ateliers thématiques, qui étaient eux très ancrés dans la réalité des offres de répit et d’accompagnement ; et des cafés du répit où nous avons abordé avec les familles la question du répit en lien avec le handicap, le cancer, l’autisme et la maladie d’Alzheimer. D’autres choses sont venues compléter, notamment le studio de la radio Vivre FM qui a été installé dans les coulisses des rencontres pendant deux jours avec 6 heures de grand direct. Nous avons aussi installé une salle de projection et un espace d’exposition avec une vingtaine de stands présentés. Tout cela a créé un grand carrefour où l’on s’est retrouvés, issus d’horizons différents mais mobilisés par la même problématique, pour essayer de réfléchir, d’échanger, de regarder ce que font les uns les autres. Nous avons eu 350 inscrits sur les deux jours.

    Aujourd’hui où en est-on en France par rapport au thème du répit ?

    Je pense que depuis deux ans, les choses ont progressé dans la prise de conscience. Les pouvoirs publics, au plus haut sommet de l’État – au Ministère de la santé – ont bien compris que si on veut que le domicile tienne il faut le soutenir (dans un contexte de virage ambulatoire on renvoie les gens chez eux assez vite après leur hospitalisation, ce qui est aussi une demande des familles). Si on ne soutient pas ce domicile, il y a des dégâts collatéraux qui sont terribles pour les proches, les aidants, les parents, les enfants, les conjoints… et cela a des impacts très forts sur la vie sociale, familiale et professionnelle. Donc notre système de santé, qui a engagé le virage ambulatoire, doit maintenant consolider le domicile pour permettre aux familles de tenir et que cette prise en charge à domicile soit soutenable dans la durée.
    Par ailleurs, plusieurs textes législatifs sont intervenus : Plan Maladies Neurodégénératives, Plan Cancer renouvelé récemment, loi d’adaptation de la société française au vieillissement de fin 2015. Ces trois textes, au moins, se préoccupent de la question des aidants et instaurent un droit au répit et un statut pour les aidants. On voit bien qu’on passe progressivement de la prise de conscience aux premières mesures. Il n’empêche que les décisions qui ont été prises sont des gouttes d’eau dans l’océan de souffrance des aidants. Les droits ne sont limités qu’à un tout petit nombre de personnes et de situations. Le statut des aidants… il n’y en n’a pas vraiment. Un congé pour les proches aidants a été instauré mais il remplace en fait un congé d’accompagnement qui préexistait. Donc des mesures sont prises, mais il n’y a pas de plan d’ensemble. Nous appelons, avec d’autres, à la mise en place en France, non pas d’un petit bout de répit dans le plan Cancer ou Alzheimer, mais d’un plan qui soit transversal : un vrai plan national de répit, et c’est une urgence pour notre pays dans lequel 9 millions de personnes sont aidantes, et pour certaines en grande souffrance. On a besoin que ces aidants, dans leur ensemble, quelle que soit la situation clinique de leur proche ou son âge, puissent bénéficier de temps de pause ou d’accompagnement pour mieux vivre ces épreuves de la vie qui les touchent.

    Pour lire l'article dans son intégralité : http://www.handirect.fr/faire-de-lyon-premiere-metropole-aidante-de-france/

    Source : Handirect 

  • Aidants à bout : des formations gratuites pour les aider

    Près de 8,3 millions de personnes aident régulièrement un proche, en grande majorité des femmes. Selon l'Insee, plus de huit aidants sur dix disent ressentir une lourde charge et éprouver un sentiment de solitude, et les trois-quarts se sentent anxieux, stressés ou surmenés. « Ce qui fait tenir, c'est le sens du devoir. On peut aller très loin, trop loin », confie l'un d'eux. Face à ce constat, un nouveau programme de sensibilisation et de formation des aidants familiaux de personnes ayant un handicap moteur ou de personnes polyhandicapées, est mis en place par l'Association des paralysés de France (APF). Les actions seront déployées jusqu'à fin 2019 avec l'objectif d'accompagner 3 000 aidants à travers 300 sessions, gratuites financées par la CNSA (Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie). Dans chaque région, 25 sessions en moyenne seront mises en place.

    Binôme aidant et professionnel

    Ces formations seront animées par des binômes composés d'aidants familiaux et de formateurs spécialistes des thèmes abordés. Ce programme a pour mission principale de contribuer à l'amélioration de la qualité de vie des aidants familiaux. La dynamique de groupe facilite leur expression, valorise leurs connaissances et compétences, permet d'ajuster les approches et les outils d'apprentissage et d'encourager la collaboration et l'émulation entre pairs. Elle propose également de sensibiliser les aidants à leurs propres besoins, afin de préserver leur qualité de vie et la relation avec leur proche.

    Quels thèmes ?

    Les thèmes proposés sont les suivants : l'annonce du handicap ou de la maladie, les aides et les droits, les répercussions psychologiques et relationnelles du rôle d'aidant, être aidant à différentes étapes de la vie, se maintenir en bonne santé, la complémentarité entre aidants professionnels et aidants familiaux, la manutention du corps humain, l'alimentation, les aides à la communication, l'entretien du matériel.

    D'autres actions en cours

    Ce programme répond aux orientations de formation et de sensibilisation des aidants de personnes atteintes de sclérose en plaques fixées dans le plan Maladie neurodégénératives (PMND) et aux mesures fixées dans le volet polyhandicap et la stratégie nationale de soutien aux aidants de personnes en situation de handicap issus du Comité interministériel du handicap (CIH) du 2 décembre 2016. Cette convention CNSA-APF s'inscrit ainsi dans la continuité des actions déployées par l'association dans ce domaine : mise en place du Collectif inter-associatif des aidants familiaux (en 2004), formulation de recommandations sur la problématique des aidants familiaux (en 2006), mise en place d'un groupe interne de travail (en 2011)...

    Source : Handicap.fr

  • Portes ouvertes CAP Handisol

     

     

    ACCOMPAGNER et SOUTENIR LA FONCTION PARENTALE DE PARENTS D'ENFANTS EN SITUATION DE HANDICAP...

    L'association CAP HANDISOL est née de la volonté de parents et de professionnels de l'éducation spécialisée.

    SE RENCONTRER... ECHANGER .... ROMPRE L'ISOLEMENT... FAIRE EMERGER DES REPONSES AUX BESOINS SPECIFIQUES...

    CAP HANDISOL est heureuse de vous convier à un temps de rencontre et de présentation de ses projets
           le 20 janvier 2016 à partir de 14 heures , au centre social et culturel La Cigalette, à l'Isle sur la Sorgue.

     Le Flyer porte ouverte est disponible :  flyer porte ouverte (2).pdf

    Le flyer présentant l'association : flyer caphandisol.pdf

  • Une bibliothèque en ligne, mine d'or pour les aidants

     "De la documentation choisie à destination des aidants », c'est ce que promet le site canadien Biblio-Aidants, pour répondre aux nombreuses questions que peuvent se poser les aidants de personnes malades, handicapées ou âgées. Ce programme, même s'il contient quelques informations issues d'associations québécoises, convient également aux aidants français puisque de nombreux titres sont édités en France. Lancé en février 2016, il fonctionne grâce à la mobilisation de 530 bibliothécaires diplômés qui analysent et sélectionnent les ouvrages mais également les films, sites internet et organismes les plus adaptés et les plus pertinents.

    15 rubriques dédiées

    Ces ouvrages se déclinent sous de nombreuses formes (BD, guides pratiques, documentaires, romans). Ils sont regroupés dans 15 cahiers thématiques, et répertoriés selon la pathologie de la personne aidée et son niveau d'autonomie. Dans le champ du handicap, il s'agit de la déficience intellectuelle, des troubles autistiques, du diabète, de la sclérose en plaques, de la santé mentale ou des incapacités physiques et sensorielles. Ces cahiers sont tous téléchargeables gratuitement sur le site (en lien ci-dessous). Chacun propose également une liste d'organismes, une sélection de sites web adaptés ainsi que des suggestions de lecture et de films.

    Source : Handicap.fr