- Page 2

  • Vente aux enchères de vins au profit de l'hôpital d'Apt

    Vente aux enchères de vins 

    au profit de l'hôpital d'Apt 

    le samedi 15 avril 2017 à 17h30 

    à la Maison de la Truffe et du Vin du Luberon à Ménerbes (84).

     

    Plus de 250 bouteilles et 120 lots, 20 domaines viticoles et entreprises de distribution, et presqu'autant de particuliers se sont mobilisés pour soutenir la modernisation du Centre Hospitalier du Pays d’Apt en offrant des bouteilles de vins au Fonds « Pour le Pays d’Apt, un hôpital d’avenir ». 

    Des vins de notre territoire mais également d’autres terroirs avec des grands crus et des vins millésimés (Bordeaux, Bourgogne..) provenant des caves personnelles de particuliers donateurs.

     

    Vente animée par Delphine Orts de la Maison de Ventes Leclere à Marseille.

    Vente caritative exonérée de droits.

    Montant de la vente versée au Fonds "Pour le Pays d'Apt, un hôpital d'avenir" qui accompagne la modernisation du bâtiment court séjour du centre hospitalier du Pays d'Apt dont les travaux viennent d'être lancés.

     

    Catalogue en ligne : www.apt-hopitaldavenir.fr www.vin-truffe-luberon.com www.leclere-mdv.com

     

    Exposition : mercredi 12, jeudi 13 et vendredi 14 avril de 10h à 19h à la Maison de la Truffe et du Vin du Luberon à Ménerbes - Tel 04 90 72 38 37

  • Appel des solidarités : l’APF répond « Présente ! », et vous ?

    Dans le cadre de sa mobilisation citoyenne et interassociative pour les élections de 2017, l’APF est partie prenante de l’Appel des solidarités avec 80 organisations des champs de l’environnement, de la solidarité nord-sud, de la lutte contre la pauvreté et de l’exclusion et des mouvements citoyens.

     

     

    logo apf present
    Parce que les crises que nous traversons sont toutes liées à un déficit de solidarité, qu’elles ne pourront se résoudre que par plus de solidarité, pour la première fois, 80 associations – du social, de l’écologie, de la solidarité internationale, de l’éducation, de la démocratie, du monde agricole, des quartiers populaires, de la défense des droits de tous, et de l’égalité, du handicap, de la jeunesse, pour la santé, et la protection animale – ont décidé d’unir leur voix.

    Il s’agit de créer l’unisson pour dépasser le brouhaha des présidentielles.
    Il s’agit de rassembler autour des essentiels, les « caps » des solidarités, en faisant l’Appel de toutes celles et ceux qui défendent la solidarité comme un préalable à toute action politique. En faisant l’Appel de la majorité discrète mais résolument solidaire qui œuvre chaque jour, et l’encourager à se revendiquer comme telle.
    Pas question de faire l’Appel des candidats, ni de les interpeller. C’est l’adhésion citoyenne qui permettra à ces caps des solidarités de s’imposer d’eux-mêmes, de devenir le mandat de tous les responsables politiques bien au-delà de l’échéance présidentielle.

    C’est pourquoi il faut se rassembler et se compter. Pour que les solidarités deviennent le cœur et le cap du prochain quinquennat.

    Répondons PRESENT! sur www.appel-des-solidarites.fr ou gratuitement par SMS au 32321 en tapant le mot PRESENT!

     
  • Offrir du répit des aidants : l'Etat s'engage ?

    S'offrir une escapade pendant qu'un professionnel s'occupe nuit et jour de son proche malade ou âgé à son domicile : un rapport parlementaire rendu public le 22 mars 2017 préconise d'expérimenter le dispositif du "baluchonnage" pour "donner un répit indispensable" à ceux qui assument la charge d'aidant familial.

    Baluchonnage ou relayage

    Créée au Canada et instaurée également en Belgique, cette aide rebaptisée "relayage" par la députée socialiste Joëlle Huillier, qui a conduit le rapport, "pallie l'absence temporaire d'un aidant et s'adresse à des personnes en perte d'autonomie pour lesquelles le changement d'environnement causerait une désorganisation importante et engendrerait une perte de repères". Ce "relayage" permet de quitter son domicile en laissant la personne que l'on accompagne aux soins d'un tiers en toute confiance.

    Au moins deux jours et une nuit

    Mais pour qu'il offre un réel bénéfice à l'aidant, il devrait être "d'au moins deux jours et une nuit soit 36 heures" et sa mise en place se heurte par conséquent à plusieurs difficultés en terme de financement et de législation liée au travail, selon ce rapport remis à la secrétaire d'Etat en charge des personnes âgées, Pascale Boistard. "La réglementation en vigueur contraint actuellement à faire se succéder plusieurs relayeurs. Or, les personnes en perte d'autonomie ne peuvent voir se succéder plusieurs personnes sans d'importantes difficultés", est-il expliqué.

    Pour lire l'article dans son intégralité : https://informations.handicap.fr/art-baluchonnage-repit-aidants-853-9687.php

    source : Handicap.fr

  • Forum bien être et conseils aux aidants familiaux

    Bonjour à Tous ;) Pour information : 

    Un forum bien être et conseils aux aidants familiaux se déroulera

    le Mardi 28 Mars 2017 de 13H30 à 17H30 à l'espace culturel Patrick Fabre à Vaison la  Romaine.

    L'entrée est libre.

    Il y aura des démonstrations : Mediation animale, socio-esthétique, médiation corporelle (danse) et artistique, massages relaxants, hypnothérapie.

    Renseignements: CLIC Haut Vaucluse  0645765810

  • Débat citoyen dans le cadre des élections présidentielles à l'APF 13

    Bonjour à tous,

    Dans le cadre des élections présidentielles 2017, l'APF des Bouches du Rhône (située 279 Avenue de la Capelette 13010 Marseille) organise un débat citoyen le  Samedi 8 Avril 2017 de 9H30 à 12H30.

    Les différents partis politiques y sont conviés et seront interrogés sur leur intentions en matière de politique du Handicap.

    La rencontre sera suivi d'un apéritif.

    Les adhérents de l'APF  du 13 étant conviés à cette rencontre, nous vous proposons également d'y participer si cela vous intéresse.

    Un covoiturage entre les participants pourra être organisé pour limiter les frais.

    Si cette initiative vous intéresse, merci de bien vouloir contacter le secrétariat au 0490164740.

     

    Bonne journée 

     

     

  • Handicap dans les transports : en finir avec la galère ?

    Trains, bus, métro : prendre les transports en commun pour les personnes handicapées reste toujours difficile même si des progrès sont constatés. A Toulouse, fin 2016, un étudiant a porté plainte contre la SNCF pour "discrimination"

    Obligés de m'enjamber

    "Je me considère comme un véritable citoyen, et j'ai l'impression que mes droits sont bafoués". Pour Kevin Fermine, 25 ans, atteint du "syndrome de Little" (dégénérescence des neurones) et en fauteuil roulant depuis son plus jeune âge, c'est lors de voyages réguliers entre Montpellier, Toulouse et Paris que la colère a commencé à monter. "Je suis placé au milieu de la rame, les autres passagers sont obligés de m'enjamber. Je n'ai pas accès aux toilettes. [...] Je n'ai pas accès à la voiture-bar. Le bouton d'assistance est très souvent désactivé", énumère cet étudiant en droit, qui vit avec un chien d'assistance. Sur un long trajet, "il m'est déjà arrivé de m'uriner dessus, tout simplement parce que je n'ai pas pu aller aux toilettes. C'est vraiment très dégradant, je ne le supporte plus", s'emporte-t-il.

    Une première loi en 1975

    Kevin a donc décidé d'entamer une procédure au tribunal administratif pour "mise en conformité", sous peine d'astreinte. "Je suis conscient que les problèmes ne peuvent pas se régler du jour au lendemain à l'aide d'une baguette magique, mais il faut se dire, quand même, que la première loi d'accessibilité date de 1975", rappelle-t-il. En 2005, la loi handicap prévoyait que les lieux et transports publics soient accessibles aux quelque 10 millions de personnes souffrant d'un handicap - moteur, visuel, mental ou auditif - avant le 1er janvier 2015. Cette échéance n'ayant pas été respectée, la loi du 5 août 2015 a instauré de nouveaux délais : trois ans pour les transports urbains, six ans pour les liaisons interurbaines et neuf ans pour le trafic ferroviaire.

    Difficultés pour les fauteuils électriques

    Dans le cas de M. Fermine, "c'est malheureusement réel, les faits sont incontestables, mais ça s'explique", a réagi auprès de l'AFP Carole Guéchi, directrice de l'accessibilité à la SNCF. "Pour les personnes en fauteuil électrique, les difficultés de voyage sur certaines lignes sont avérées". "Le TGV Atlantique date de 1980, et le Duplex de 1995, donc ce ne sont pas des TGV jeunes et, du coup, la réglementation en vigueur à l'époque quand on faisait de l'accessibilité, c'est loin, loin, loin de ce qu'on fait aujourd'hui". Mais "la situation est en train d'évoluer", souligne-t-elle, notamment avec les nouvelles rames TER Regiolis et le TGV Océane.

    Pour lire l'article dans son intégralité : https://informations.handicap.fr/art-transport-handicap-discrimination-853-9665.php

    Source : Handicap.fr

  • Le secourisme s'ouvre aux personnes en situation de Handicap

    C'est désormais officiel. Le handicap n'est pas une barrière à l'apprentissage du secourisme. A l'heure où chaque citoyen est appelé à devenir un acteur à part entière de la sécurité civile, les personnes à mobilité réduite (PMR) sont appelées à jouer pleinement leur rôle de sauveteurs potentiels. Un acquis dorénavant officiellement reconnu depuis la parution au Journal officiel de l'arrêté du 11 mars dernier qui fait entrer formellement en vigueur l'arrêté du 21 décembre 2016 fixant le référentiel national de compétences de sécurité civile relatif à l'unité d'enseignement "Prévention et secours civiques de niveau 1" (PSC1). (Source Secours MAG)

     Voici un article illustrant bien cet événement.

    En effet, Gilles RUIZ le conseiller Municipal d'ARLES avait été reçu le mois dernier au Salon secours expo à Paris Avec Mireille FOUQUEAU La Directrice Territoriale Bouches du Rhone / Vaucluse.

    article Secourisme (1).jpg

  • Forum des usagers Samedi 1er Juillet 2017 au Dome de Talence (33)

    Bonjour à Tous,

     

    Pour information, le centre ressource Aquitain Vie intime, affective, sexuelle et handicap organise le Forum des usagers le 1er Juillet 2017 au Dome de Talence (dans le département 33)

    L'entrée est gratuite sur inscriptions.

    renseignements et inscription : centre.ressource.handicap@gmail.com

    Si vous êtes intéressés Voici le programme de la journée  : 

    9h30 : Accueil des participants
    10h00 : Ouverture de la journée
    10h30 : Table ronde Estime de soi, séduction et handicap
    11h30 : Table ronde Favoriser le pouvoir d’agir, décider pour soi

    12h00-14h00 : Découverte des stands, expositions et pause déjeuner
    Stands : Appas, récré coquine, centre papillon, librairie Georges, Moon bien-être
    Expositions photos : Handifemme, handimaternité
    Exposition de peinture : Priscille Vincens

    Déjeuner : Présence d’un food truck sur place (BBS)

    14h00 : Table ronde Handiparentalité
    15h00 : Table ronde assistance sexuelle
    16h00 : Speed dating
    17h00 : Fin de la journée

    Bonne journée :)

  • Sortie Haribo de nos adhérents

    Bonjour à tous,

     

    Voici quelques photos pour illustrer la sortie au Musée Haribo de nos adhérents le Mardi 14 Mars 2017.

    Ils étaient ravis de pouvoir visiter le musée du bonbon et d'en déguster bien évidemment !!

     

    Vivement la prochaine sortie :)

     

     

     


    IMG_1065.JPGIMG_1066.JPGIMG_1067.JPG

     

     

    IMG_1064.JPG

     

     

     

     

     

  • À 27 ans, j'ai une sclérose en plaques. Je dois lutter pour qu'on me laisse travailler

    Eric a 27 ans. L’année dernière, après un malaise sur son lieu de travail, on lui a diagnostiqué une sclérose en plaques. Du jour au lendemain, sa vie a été bouleversée. Pourtant, le combat le plus difficile à mener n’est pas celui auquel on pourrait s’attendre : depuis trois mois, Eric se bat pour avoir le droit de travailler. Témoignage.

    Tout commence à la fin du mois de février 2016. Je ressens quotidiennement des douleurs à la jambe gauche, elles me déstabilisent, un peu comme si j’étais alcoolisé. Ma main gauche, elle aussi, me fait mal et me brûle. Ça s’amplifie de jour en jour. J’ai progressivement des vertiges, des maux de tête, des troubles de la parole et même de la vision… Je sens bien qu’il y a un problème et je vais voir un médecin. Ce dernier me dit que ce n’est pas grave, que tout ça peut s’expliquer parce que je suis trop stressé.

     

    Un mois plus tard, je m’écroule sur mon lieu de travail. En quelques heures, les symptômes se sont intensifiés, si bien que je suis pris en charge par les pompiers. S’ensuit une hospitalisation. Je passe une batterie d’examens aux urgences, parmi lesquels une IRM, un scanner et une prise de sang. Sur les résultats de la première, on voit clairement des inflammations du cerveau qui prennent la forme de plaques blanches. Au fil des heures, le regard des soignants qui m’entourent commence à changer.

     

    Le diagnostic, c’est un choc électrique qui parcourt tout votre corps

     

    Un jour, un interne vient me voir dans ma chambre, au service neurologie de l’hôpital. Il s’assoit à côté de moi, regarde son dossier, me regarde ensuite et m’annonce qu’ils suspectent une sclérose en plaques. Il m’explique que c’est une maladie neuro-dégénérative incurable, qui se traite pourtant bien de nos jours.

     

    Le diagnostic, c’est comme un choc électrique qui vous traverse de la pointe des cheveux jusqu’à la plante des pieds. En tant que pompier volontaire, j’entendais souvent des gens me dire : "J’ai été frappé par la maladie". Ce jour-là, je prends très bien conscience de ce qu’ils ont pu ressentir quand on a mis un nom sur ce dont ils souffraient.

     

    L’interne n’avait pas dit à son chef de service qu’il m’avait vu. Ce dernier s’est donc empressé de venir me rassurer. Je n’en veux pas à l’interne mais je sais que je n’oublierai jamais ses mots. J’ai tout de suite été placé sous cortisone pour plusieurs jours : d’après les médecins, il n’y a que ça qui permet de ralentir les poussées de la maladie.

     

    Pour lire l'article dans son intégralité : http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1660497-a-27-ans-j-ai-une-sclerose-en-plaques-je-dois-lutter-pour-qu-on-me-laisse-travailler.html

    Source : L'OBS le plus