• VENTE

    vente Master 2015.pdf

     

    A vendre

    Renault Master 9 places

     

    La Délégation Départementale de l’APF Loir-et-Cher

    vend son véhicule adapté pour le transport de PMR

    Voire fiche complète ci-jointe!!

     

     

    Cathrine Wirbelauer
    Directrice de Délégation

     

    Association des Paralysés de France (APF)
    Délégation Départementale du Loir-et-Cher
    1 rue Arago
    41000 Blois
     
    Tél: 02 54 43 04 05
    Fax: 02 54 43 44 43
    http://apf41.blogs.apf.asso.fr

  • Conférence AUTISME et EMPLOI


    Mercredi 18 novembre 2015 de 8h à 13h

    A la Marie d’Avignon - Place de L’horloge



    Durant cette matinée, il vous sera proposé de mieux connaitre l’autisme par le prisme de Josef Schovanec et d’échanger ensuite de manière informelle avec des entreprises, des associations et institutionnels œuvrant dans le champ du handicap et de l’emploi.

    (Pour mieux connaitre Josef Schovanec : <https://www.youtube.com/watch?v=LnT3Q-Tk3N0> https://www.youtube.com/watch?v=LnT3Q-Tk3N0)



    Vous trouverez, en document joint, l’invitation. Le nombre des places étant limité, nous vous remercions de bien vouloir nous confirmer votre présence.



    A très bientôt,



    Bien cordialement



    Pascale Pourrier

    Déléguée bénévole du Réseau des Réussites de L’ADAPT

    Responsable Handispensable Conseil et Recrutement

  • Projet de loi ASV en dernière lecture au Sénat : Vite, des réponses pour les MDPH toujours menacées !!

     

     

    Le 14 octobre dernier, l’APF lançait un appel à une journée nationale d’actions afin de dénoncer les menaces qui pèsent sur les Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH), notamment dans le cadre du projet de loi d’adaptation de la société au vieillissement (PL ASV). Outre l’importante mobilisation locale et nationale sur l’ensemble du territoire, une manifestation s’est déroulée devant le Ministère des Affaires Sociales dans le but de défendre les MDPH, dispositif d'accès aux droits indispensable pour les personnes en situation de handicap et leur famille.

    A l’issue de la manifestation, une délégation composée de différents représentants associatifs a rencontré deux conseillers du cabinet de la Ministre des Affaires sociales et de la Santé, Marisol Touraine et de la Secrétaire d’Etat chargée des Personnes handicapées Ségolène Neuville, afin de leur remettre la pétition www.change.org/TouchePasAMaMDPH, désormais riche de près de 38 000 signatures.

     

    A la veille de la discussion du projet de loi en séance plénière au Sénat, l’APF déplore l’absence de réponses concrètes et attend de réelles garanties quant à l’avenir des MDPH.

     

    Le 14 octobre fut l’occasion de rappeler l’enjeu de la mobilisation nationale de l’APF. En dépit de leurs difficultés matérielles et financières et face aux besoins des personnes en situation de handicap et de leur famille qui sont de plus en plus confrontées à des réponses inadaptées et des délais d’attente trop longs, les MDPH sont un dispositif central dans le traitement des droits des personnes et un outil à ne pas démanteler !

     

     

     

    La journée fut marquée par d’importantes mobilisations sur l’ensemble du territoire, qui ont revêtu des formes diverses (interviews, rencontres avec les élus des conseils départementaux, réunions en COMEX, communiqués de presse). Dans l’après-midi s’est déroulée une manifestation devant le Ministère des Affaires sociales. Les manifestants, dont une délégation de membres d’associations représentatives de personnes en situation de handicap, se sont réunis devant un mur de briques démoli, symbole et reflet de la « casse » progressive des MDPH.

     

     

     

    La délégation de représentants associatifs a été reçue par les cabinets de Marisol Touraine et Ségolène Neuville : l’occasion de rappeler l’importance de la mobilisation en faveur des MDPH, dispositif indispensable dans le traitement des droits des personnes en situation de handicap. Face à des interlocuteurs qui semblaient à l’écoute et concernés par le devenir des maisons départementales, l’APF reste à ce jour sans nouvelles quant aux interpellations suivantes :

     

    -          Le soutien et le renforcement des moyens financiers des MDPH face à leurs missions de plus en plus importantes

     

    -          Les contrats d’objectifs financiers prévus par la Loi Paul Blanc

     

    -          Le non-respect de l’indépendance des GIP MDPH et des COMEX qui ne jouent pas leur rôle

     

    -          La proposition d’une table ronde impliquant l’Etat, l’Assemblée des Départements de France  ainsi que les associations sur le sujet MDPH.

     

     

     

    Aujourd’hui, l’APF déplore une situation floue et extrêmement ambigüe quant au devenir des MDPH dont la situation  s’aggrave alors même que leurs missions ne cessent de s’accroître.

     

     

     

    A la veille de la discussion du projet de loi d’adaptation de la société au vieillissement au Sénat, pour une seconde et dernière lecture, qui concerne directement les MDPH, l’APF s’inquiète fortement du décalage entre la volonté initiale de l’article 54 ter qui est d’encadrer les MDA et une réalité de terrain totalement à l’opposé. En effet  l’objectif de l’article 54 ter sur les Maisons de l’Autonomie (MDA) créées à partir des MDPH était bien de préciser et d’améliorer le cadre des MDA existantes et non pas d’aller vers une généralisation et un appel à les créer. Or c’est précisément dans cette optique que s’oriente le discours avec quasiment une quarantaine de MDA ou de projets de MDA existants.

     

     

     

    L’APF attend que lors de la dernière lecture du PL ASV, les sénateurs donnent de réelles garanties quant à l’avenir des MDPH.

     

     

    Télécharger le communiqué de presse

     

    source APF

  • Projet de loi ASV / dernière lecture : Vite, des réponses pour les MDPH toujours menacées !

     

    Le 14 octobre dernier, l’APF lançait un appel à une journée nationale d’actions afin de dénoncer les menaces qui pèsent sur les Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH), notamment dans le cadre du projet de loi d’adaptation de la société au vieillissement (PL ASV).

    Outre l’importante mobilisation locale et nationale sur l’ensemble du territoire, une manifestation s’est déroulée devant le Ministère des Affaires Sociales dans le but de défendre les MDPH, dispositif d'accès aux droits indispensable pour les personnes en situation de handicap et leur famille.

    A l’issue de la manifestation, une délégation composée de différents représentants associatifs a rencontré deux conseillers du cabinet de la Ministre des Affaires sociales et de la Santé, Marisol Touraine et de la Secrétaire d’Etat chargée des Personnes handicapées Ségolène Neuville, afin de leur remettre la pétition change.org/TouchePasAMaMDPH, désormais riche de près de 38 000 signatures.

    A la veille de la discussion du projet de loi en séance plénière au Sénat, l’APF déplore l’absence de réponses concrètes et attend de réelles garanties quant à l’avenir des MDPH.

    Pour lire le communiqué complet, cliquez ici

     

    source APF

  • Congé de présence familiale

     

    Un congé de présence familiale

    Le 6 octobre a eu lieu la 5éme journée des Aidants Familiaux, une initiative du gouvernement français afin de saluer l’engagement des personnes aidant un proche, malade, en situation de handicap ou âgé dépendant. Une reconnaissance dont se félicite le Collectif Inter-Associatif des Aidants Familiaux* (CIAFF) qui toutefois  attend aujourd’hui une reconsidération du statut des Aidants Familiaux et notamment la création d’un congé de présence familiale ! 

    Sur les 8,3 millions d’aidants familiaux en France, 4 millions sont actuellement en activité et une grande majorité de ces aidants rencontre d’importantes difficultés à concilier vie familiale et vie professionnelle. Aider un proche peut avoir des conséquences importantes sur la carrière et peut notamment se solder par un renoncement à l’activité professionnelle faute de dispositifs adaptés (aménagement du temps de travail, congés...)

    A ce jour, le Code du travail prévoit trois congés permettant de suspendre ou de réduire temporairement l’activité professionnelle afin de s’occuper d’un proche. Cependant ces dispositifs sont trop restrictifs, peu flexibles, faiblement voire pas du tout indemnisés, et ne répondent pas à la diversité des besoins des aidants familiaux. Qui plus est, ils créent des inégalités entre les aidants en fonction de l’origine de la dépendance et de l’âge de l’aidé ainsi que des liens de parenté.

    C’est pourquoi le CIAAF revendique la création d’un congé unique : le congé de présence familiale.

    Pour rendre moins difficile la vie des aidants, le CIAAF revendique un congé de présence familiale qui remplacerait les trois congés existants afin d’accompagner une personne dépendante quelle que soit la cause de la perte d’autonomie, de la situation de handicap, de la maladie et l’âge de la personne aidée.

    Ce congé comprendrait :

    • Une indemnité au moins équivalente à l’allocation journalière de présence parentale
    • Une durée de 3 ans fractionnable sur l’ensemble de la carrière
    • Un maintien des droits à la retraite sans condition de ressources

    Conclusion : pour le CIAAF, cette journée nationale doit non seulement être l’occasion de faire connaitre les réalités des aidants familiaux mais aussi de leur permettre de continuer à assurer ce rôle dans les meilleures conditions possibles. Le congé de présence familiale serait une étape en ce sens.

    * l'APF est membre du CIAFF

    source bip

  • Alerte / PLF 2016 : Main basse du gouvernement sur les ressources des personnes en situation de handicap !

     

     

    plf, aah, aplL’Association des Paralysés de France (APF) lance une alerte vigoureuse sur l’impact des mesures du projet de loi de finances (PLF) pour 2016 sur les bénéficiaires de l’allocation adulte handicapé (AAH) et de ses compléments. Les nouveaux modes de calcul de l’AAH et de l’APL proposés par le PLF 2016 vont avoir un effet désastreux sur le niveau de vie de plusieurs centaines de milliers de personnes en situation de handicap.

    Le PLF 2016 en prévoyant de prendre en compte dans le calcul de l’AAH les menus intérêts des livrets non soumis à l’imposition sur le revenu va faire perdre des sommes considérables à plus de 200 000 personnes, parmi les plus vulnérables, en les excluant de leurs droits connexes (complément de ressources et majoration pour la vie autonome). 

    Et cela ne suffisant pas, le PLF prévoit également d’intégrer le patrimoine et le montant exorbitant de certains loyers dans les critères d’éligibilité de l’aide personnalisée au logement (APL) sans s’interroger sur l’impact de cette mesure sur les personnes en situation de handicap. 

    Ces deux décisions vont venir aggraver considérablement les conditions de vie déjà précaires d’un grand nombre de citoyens qui vivent déjà sous le seuil de pauvreté. Pour une poignée d’euros, le gouvernement est prêt à sacrifier les personnes en situation de handicap.

     

     

     source APF

     

     
     
     

     

     
     
     

     

  • Alerte - Projet de loi finances : Main basse du gouvernement sur les ressources des personnes en situation de handicap !

     


    L’Association des Paralysés de France (APF) lance une alerte vigoureuse sur l’impact des mesures du projet de loi de finances (PLF) pour 2016 sur les bénéficiaires de l’allocation adulte handicapé (AAH) et de ses compléments. Les nouveaux modes de calcul de l’AAH et de l’APL proposés par le PLF 2016 vont avoir un effet désastreux sur le niveau de vie de plusieurs centaines de milliers de personnes en situation de handicap.

    Le PLF 2016 en prévoyant de prendre en compte dans le calcul de l’AAH les menus intérêts des livrets non soumis à l’imposition sur le revenu va faire perdre des sommes considérables à plus de 200 000 personnes, parmi les plus vulnérables, en les excluant de leurs droits connexes (complément de ressources et majoration pour la vie autonome). 

    Et cela ne suffisant pas, le PLF prévoit également d’intégrer le patrimoine et le montant exorbitant de certains loyers dans les critères d’éligibilité de l’aide personnalisée au logement (APL) sans s’interroger sur l’impact de cette mesure sur les personnes en situation de handicap. 

    Ces deux décisions vont venir aggraver considérablement les conditions de vie déjà précaires d’un grand nombre de citoyens qui vivent déjà sous le seuil de pauvreté. Pour une poignée d’euros, le gouvernement est prêt à sacrifier les personnes en situation de handicap. 

     

    aah,plf2016,pétition

    C’est pourquoi l’APF, révoltée par ces nouvelles mesures d’économie prises sur le dos des citoyens les plus pauvres, dit « Stop à l’indécence ! » et lance une pétition en ligne sur www.change.org/HandicapStopIndecence pour appeler le gouvernement et les parlementaires à les supprimer.

     

    Le 30 septembre dernier, dès la présentation du projet de loi de finances 2016, le Comité d’entente s’insurgeait des économies annoncées par le gouvernement sur le dos des personnes en situation de handicap. Le gouvernement a en effet inscrit, dans le cadre d’un processus d’harmonisation entre minima sociaux (article 33), la prise en compte des intérêts des livrets non soumis à l’imposition (livret A, livrets d’épargne populaire, livret jeune, PEL, CEL …) dans le calcul des ressources des bénéficiaires de l’allocation adulte handicapé (AAH).

    L’APF interpelle aujourd’hui vigoureusement les pouvoirs publics sur les conséquences directes et néfastes de telles décisions sur les droits connexes de l’AAH (compléments de ressources et majoration pour la vie autonome) ainsi que sur le montant même de l’AAH perçu par plus d’un million de personnes en situation de handicap qui feront les frais de dommages collatéraux indésirables.

    Effet voulu ou non, cette harmonisation va conduire tout particulièrement plus de 200 000 personnes, présentant un taux d’incapacité supérieur ou égal à 80% qui touchent actuellement une AAH, à taux plein à perdre des droits substantiels en réduisant considérablement leur reste à vivre. Pour quelques dizaines d’euros (205 € maximum) tirés des intérêts de leurs livrets non soumis à imposition, elles se verront délester de 1 257€ à 2 151€ par an indispensables à leurs besoins essentiels. Cette mesure est totalement inacceptable alors même que ces personnes dépendent d’une allocation dont le montant est déjà inférieur au seuil de pauvreté.

    L’APF dénonce cette mesure indécente qui s’attaque aux ressources des plus démunis à travers leurs droits connexes et risque d’aggraver la qualité de vie de 21% des bénéficiaires de l’AAH. Pour 205 euros au mieux perçus du revenu de leur épargne chaque année, ces citoyens perdraient entre 1257 et 2151 euros par an.

    L’APF rappelle que l’AAH n’est pas et ne sera jamais, par nature, un minimum social comme les autres. Il en va de même pour le complément de ressources et la majoration pour la vie autonome qui sont des prestations « palliatives » indispensables pour ces personnes compte tenu de leur état de santé et de leur impossibilité de travailler. L’adoption d’une telle mesure serait catastrophique et marquerait un recul considérable en matière d’autonomie.

    Enfin, à ces mauvais calculs, vient s’ajouter un nouveau coup bas concernant l’intégration du patrimoine et du critère de loyer excessif dans les critères d’éligibilité de l’aide personnalisée au logement (APL). Sous couvert de rendre le système plus juste, la mesure (article 55 du PLF 2016) frappe indistinctement l’ensemble des bénéficiaires. L’APF souligne la nocivité d’une mesure d’économie déshumanisée prise sans mesurer l’impact sur les populations fragilisées  dont de nombreuses personnes en situation de handicap, bénéficiaires d’une AAH, d’une petite pension d’invalidité ou du RSA.

    La baisse ou le retrait de l’APL ajouterait une énième diminution du pouvoir d’achat, au risque de faire basculer ces personnes dans une précarité plus grande.

    Pour l’APF, ces deux mesures sont le résultat de l’indigence des études d’impact en la matière et l’absence de prise en compte sérieuse de la situation des personnes handicapées conduisant ainsi à des décisions iniques désastreuses.

    Compte tenu de leur caractère extrêmement préjudiciable, l’APF appelle le gouvernement à supprimer ces deux mesures et dit « Stop à l’indécence ! » en invitant tous les citoyens à se mobiliser pour signer la pétition en ligne sur  www.change.org/HandicapStopIndecence

    En s’en prenant aux plus vulnérables d’entre tous, en arrachant plusieurs centaines d’euros des poches des personnes en situation de handicap, le gouvernement met en péril notre modèle social en y inscrivant des régressions historiques inacceptables ! 

     

    source APF

  • 1 400 athlètes aux Mondiaux d'athlétisme handisport à Doha

    trait

     

     

     

     

     

    Les Mondiaux d´athlétisme handisport sont à suivre en direct sur France Ô et sur francetvsport.fr.

     

    Les Mondiaux d'athlétisme handisport sont à suivre en direct sur France Ô et sur francetvsport.fr.



    Plus de 1400 athlètes venus d'un peu moins de 100 pays sont attendus à Doha pour les Championnats du monde d'athlétisme handisport 2015, que les organisateurs annoncent déjà comme "les meilleurs de l'histoire". Cette compétition biennale qui débute jeudi est le dernier rassemblement majeur de l'athlétisme handisport avant les Jeux paralympiques de 2016. Certaines épreuves de ces Mondiaux seront d'ailleurs qualificatives pour Rio de Janeiro.

    Les Mondiaux d'athlétisme handisport sont à suivre en direct sur France Ô et sur francetvsport.fr

    Président du comité international paralympique, Philip Craven a affirmé que ces championnats du monde pourraient être "les meilleurs de l'histoire" et qu'on pouvait s'attendre à "la lutte peut-être la plus acharnée de tous les temps" pour les 214 médailles en jeu, dans les quinze disciplines au programme. C'est la première fois, avec cette 6e édition, que ces Mondiaux se déroulent au Moyen-Orient. Pour l'occasion, les 70 heures de compétitions seront retransmises en direct sur le site internet du comité international paralympique (CIP). L'événement survient quelques jours seulement après la remise en liberté anticipée, lundi, de la grande star de l'athlétisme handisport , le Sud-africain Oscar Pistorius, condamné en 2014 à cinq ans de prison pour avoir tué sa petite amie. L'ex-champion paralympique est désormais assigné à résidence.

    Le Fur contre "Blade Babe"

    Lors des derniers Championnats du monde, en 2013, à Lyon en France, les Russes avaient fini sur la plus haute marche du podium avec 53 médailles dont 26 en or, devant les Américains (52 médailles dont 17 en or) qui reviennent cette année avec pas moins de 84 athlètes. Les Brésiliens avaient complété le podium avec 40 médailles dont 16 titres mondiaux. Parmi les stars annoncées figure notamment la Néerlandaise Marlou van Rhijn, alias "Blade Babe", couronnée sur 100 m et 200 m à Lyon. Autre épreuve attendue sur le tartan du stade Suhaim bin Hamad, au centre de Doha, le 100 m T44, réservé aux athlètes amputés en-dessous du genou, pourrait voir une finale très rapide avec un duel prévisible entre l'Américain Jarryd Wallace, détenteur du record du monde, et son compatriote et ancien recordman Richard Browne.

    En 1500 mètres T54, réservé aux athlètes touchés à la moelle épinière, le détenteur du record du monde, le Suisse Marcel Hug, alias "la balle argentée", affrontera le Britannique David Weir, médaillé six fois aux Jeux paralympiques. Après ces Mondiaux d'athlétisme handisport , le Qatar accueillera aussi les Mondiaux d'athlétisme 2019 avant le très controversé Mondial-2022 de football.

     

    source handicapinfos

  • Projet EANABLIN+

     

    Connaissez-vous le projet EANABLIN+ ?

    Ce projet a été lancé au début de 2014. C’est un projet européen de coopération multilatérale dans le domaine de la formation professionnelle - dans le programme LEONARDO1 du Programme à l'éducation permanente de la Commission européenne. Son objectif est de contribuer à ce que les enfants et les jeunes ayant des besoins de soutien complexes et intenses, et les personnes qui les soutiennent, participent plus activement à la vie ordinaire, dans les familles, à l'école, et d'autres la vie de la communauté. Basé sur une analyse des besoins et des modèles de bonnes pratiques, il entend développer un système de formation interprofessionnelle en service, où les professionnels et les parents de divers horizons professionnels apprennent ensemble, dans le but d'améliorer la qualité de vie des enfants à divers les niveaux d'âge.

    http://www.cesap.asso.fr/images/info-recherche/EnablinNew... ou Newsletter n°1, pdf, 4 pages

     1 Le programme Leonardo da Vinci est un des programmes sectoriels du programme Education et Formation tout au long de la vie. Il est conçu comme un outil chargé de donner une impulsion aux systèmes de formation et d'enseignement professionnels en Europe dans leur diversité.

     

    source BIP

  • Majoration de pension avant l'âge légal de la retraite

     

     

    http://vos-droits.apf.asso.fr/images/loupe.jpg

     

    La possibilité de bénéficier, avant l’âge légal de départ à la retraite, de la majoration de pension offerte aux travailleurs en situation de handicap

     

     

    Les travailleurs en situation de handicap peuvent, sous certaines conditions, prendre leur retraite par anticipation avant l’âge légal de départ à la retraite (fixé entre 60 ans et 62 ans, selon votre date de naissance) à partir de 55 ans.

     

     

    Ils bénéficient alors d’une pension calculé avec le taux maximum de 50 % et majorée pour compenser  la durée non cotisée.

     

    Or, la pension de vieillesse « classique » est à taux plein si la personne prend sa retraite entre 65 et 67 ans selon la date de naissance ou en ayant cotisé suffisamment de trimestres.

     

    Par conséquent, se présente régulièrement la situation (les personnes en situation de handicap entrant souvent tard sur le marché de l’emploi et ayant souvent un parcours morcelé) dans laquelle des assurés en situation de handicap travaillant jusqu’à plus de l’âge légal de départ à la retraite mais moins de l’âge de retraite à temps plein, et n’ayant pas cotisé suffisamment de trimestres (et donc ne bénéficiant pas du taux plein de 50%) se retrouve avec une pension de vieillesse moins importante que s’ils avaient pris leur retraite par anticipation.

     

    Il a donc été prévu d’appliquer la majoration aux assurés n'ayant pas bénéficié du droit à la retraite anticipée pour les personnes handicapés mais qui en remplissait les conditions avant l’âge légal de départ à la retraite.

     

    Cette mesure a été peu diffusée, les caisses de retraites n’en font jamais état et prétendent même parfois qu’il n’est pas possible de bénéficier de la majoration de pension.

     

    Vous devez demander à bénéficier de cette mesure, votre caisse de retraite ne peut vous le refuser.

     

    Voici les textes à citer si vous rencontrez une opposition de la part de votre caisse de retraite :

     

    -          si vous êtes salarié ou que vous dépendez du régime général ou d’un régime assimilé :

    Lettre ministérielle du 20 février 2006 du Ministre délégué à la Sécurité sociale, aux personnes âgées, aux personnes handicapées et à la famille (disponible sur ce lien : http://www.legislation.cnav.fr/Pages/texte.aspx?Nom=LE_MI...)

     

    -          Si vous êtes fonctionnaire :

    Instruction interministérielle du 16 mars 2007 du Ministère de la fonction publique et du Ministère de l’économie, des finances et de l’industrie (disponible sur ce lien : http://www.fonction-publique.gouv.fr/archives/home2011101...)

     

    source APF