• Sunu, un bracelet connecté qui aide les personnes malvoyantes

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    Ce dispositif a été conçu en s´inspirant du principe d´ondes utilisé par les chauves-souris.

    Ce dispositif a été conçu en s'inspirant du principe d'ondes utilisé par les chauves-souris.



    Les bracelets connectés sont de plus en plus des accessoires de haute technologie, très utilisés par les consommateurs. Le bracelet Sunu devrait intéresser des personnes malvoyantes. C’est en réalité un système qui va guider les personnes handicapées visuels, les personnes aveugles, grâce à des ondes hautes fréquences qui détecte les obstacles.

    Ce dispositif a été conçu en s'inspirant du principe d'ondes utilisé par les chauves-souris. Ce concept est le fruit de chercheurs mexicains, qui ont étudié la technologie du sonar pour aider à mieux bouger, marcher et surtout mieux s’orienter.

    Une connexion pour guider les malvoyants

    Les deux chercheurs mexicains qui ont créé le bracelet connecté Sunu, ont utilisé les ondes en version hautes fréquences, pour obtenir plus facilement l'écholocalisation dans l'espace, exactement comme fonctionne un sonar.

    Le principe technologique, repose sur les ondes, émises depuis le bracelet connecté qui est au poignet du malvoyant. Ces dernières butent sur les obstacles, et font un retour à la source de l'émission. Les personnes aveugles vont pouvoir se déplacer même dans un environnement difficile. Le Sunu est un produit exclusivement conçu pour les personnes à la vision déficiente, un projet noble et socialement très utile. D'ailleurs, les deux inventeurs, sont allés plus loin, en créant le bracelet Sunu Tag connecté, ce dernier pouvant se fixer sur n'importe quel objet utilisable dans la journée, comme un trousseau de clés, un téléphone mobile, portefeuille, etc… ceci permettra de localiser le bracelet plus facilement via les vibrations du smartphone ou du bracelet.

    Le bracelet est toujours en "phase projet", espérons que la campagne de financement lancée donnera des résultats pour soutenir cette action de bienfaisance.

     

    source handicapinfos

  • Parution de "La recherche et l'accessibilité-tome 1"

    La Délégation Ministérielle à l'Accessibilité publie sur son site un ouvrage sur les travaux de recherche entrepris dans le domaine de l'accessibilité de la Cité.

    L'ouvrage est disponible via le lien ci-dessous

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    source APF

  • Emploi des personnes en situation de handicap : le Groupe BPCE mobilisé

     

     
     
     
    Cette dix-neuvième Semaine pour l’Emploi des personnes handicapées a permis de faire un zoom sur les deux leviers essentiels pour développer l’emploi des personnes handicapées : le recrutement et le recours au secteur du travail protégé et adapté.

    Cette dix-neuvième Semaine pour l’Emploi des personnes handicapées a permis de faire un zoom sur les deux leviers essentiels pour développer l’emploi des personnes handicapées : le recrutement et le recours au secteur du travail protégé et adapté.



    A l'occasion de la Semaine pour l'Emploi des personnes handicapées (SEPH), qui s’est tenue du 16 au 22 novembre 2015, le Groupe BPCE a réaffirmé son engagement et dresse un bilan des actions engagées.

    De nombreuses entreprises du groupe ont fait le choix d’inscrire leur politique Handicap dans le cadre d’accords. C’est le cas des Banques Populaires et des Caisses d’Epargne qui ont renouvelé leurs accords de branche pour la période 2014-2016 avec des objectifs de taux d’emploi respectivement fixés à 4,3 % et 4,8 %. Natixis a également signé un accord d’entreprise. Au niveau du Groupe BPCE, le taux d’emploi se situe aujourd’hui à 4,5 %.

    Pour atteindre ses objectifs, le Groupe BPCE a choisi quatre leviers d’actions :

    Renforcer le maintien dans l’emploi, grâce à un accompagnement personnalisé permettant au collaborateur d’exercer son activité professionnelle dans les meilleures conditions ;

    Développer les compétences et l’employabilité, en offrant les mêmes opportunités de formation et d’évolution professionnelles à tous les salariés ;

    Diversifier les recrutements, grâce à des partenariats, modes de sourcing et types de contrat adaptés ;

    Enfin, amplifier le recours au secteur du travail protégé et adapté (STPA), pour favoriser l’insertion professionnelle et sociale de personnes qui ne peuvent travailler dans le milieu ordinaire.

    La politique Handicap du Groupe BPCE, définie et portée par ses dirigeants, bénéficie de l’engagement de nombreux acteurs : managers, filière RH, médecins du travail, assistantes sociales, et bien sûr référents Handicap.

    Cette dix-neuvième Semaine pour l’Emploi des personnes handicapées a permis de faire un zoom sur les deux leviers essentiels pour développer l’emploi des personnes handicapées : le recrutement et le recours au secteur du travail protégé et adapté.

    source actualitéhandicap

     

  • Rencontre de l'APACT à la Maison de Victor Hugo

     

    L'Association Promotion, Accessibilité et Conception pour Tous organise une rencontre le Lundi 30 Novembre 2015 à 18h à la Maison de Victor Hugo afin de promouvoir le développement de l'accès pour tous à la culture.

    Pour avoir des informations complémentaires et vous inscrire à cet évènement, cliquez sur le lien ci-dessous.

     

    apact_victor_hugo.JPG

     

    source APF

  • Le contrat de génération adapté pour les jeunes handicapés

    Les outils

    Entreprise

    Des aides supplémentaires ont été prévues pour les entreprises signant un contrat de génération avec une personne en situation de handicap...

     

    Le contrat de génération adapté pour les jeunes handicapés
    En signant un contrat de génération, l’entreprise embauche un jeune et maintient dans l’emploi un senior. - Valinco/Sipa

    Sylvie Laidet

    Comme souvent avec les dispositifs de droit commun, certains sont dédiés aux personnes handicapées. Le contrat de génération n’échappe pas à la règle. Ainsi, les entreprises de moins de 300 salariés qui embauchent un jeune en situation de handicap de moins de 30 ans et qui, dans le même temps, maintiennent en emploi ou recrutent un senior de plus de 57 ans (55 ans pour un senior en situation de handicap) sont éligibles aux 12.000€ d’aides de l’Etat sur trois ans.

    «En appui de ce dispositif gouvernemental, nous proposons des aides supplémentaires. D’abord, l’aide senior complémentaire forfaitaire de 4.000€ pour l’embauche d’un jeune en situation de handicap à temps plein (2.000€ à temps partiel) doublé d’un maintien dans l’emploi ou d’un recrutement d’un senior», complète Faouzia Bousmah, chargée de mission à l’Association de gestion du fonds pour l’insertion des personnes handicapées (Agefiph).

    Pour encourager les entreprises à proposer une formation au jeune ou au senior handicapé pendant leur contrat de génération, l’organisme collecteur de la contribution des entreprises ne remplissant pas leur obligation d’emploi de travailleurs handicapés finance 80% des coûts pédagogiques. Enfin, pour favoriser l’intégration d’un salarié handicapé dans son poste, deux aides cohabitent: jusqu’à 2.000€ pour la rémunération du tuteur et maximum 1.000€ pour sa formation.

    Un dispositif peu usité

    A ce jour, ces aides ne sont que très peu utilisées par les entreprises: moins d’une trentaine en 2014 pour un objectif initial de 200. «La conjoncture économique morose explique pour partie cette faible mobilisation. Les entreprises embauchent peu. Et puis, cette aide entre en concurrence avec d’autres dispositifs de soutien proposés par l’Agefiph», explique un autre spécialiste du secteur. Pour 2015, les chiffres ne sont pas «stabilisés», mais l’organisme collecteur évoque une montée en charge progressive.

    >>>> Pour lire plus d’articles sur le handicap, rendez-vous sur notre site

     

    source 20 minutes

  • Merci à tous

     

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    source BIP

  • Tout savoir sur la discrimination ou presque avec

     

    www.stop-discrimination.gouv.fr

    • Que faire en cas de discrimination ?
    • Quelles sont les discriminations reconnues par la loi ?
    1. S'informer
    2. Agir

    La discrimination, au sens juridique, se définit comme un traitement défavorable ou inégal comparé à d'autres personnes ou d'autres situations par rapport à certains critères discriminatoires interdits par la loi (origine, sexe, situation de famille, patronyme, handicap, orientation ou identité sexuelle...). Ce traitement défavorable intervient dans un domaine spécifié par la loi comme l'accès à l'emploi ou au logement par exemple. Néanmoins, il ne faut pas confondre les discriminations avec d'autres infractions (racisme, provocation publique à la discrimination ou encore harcèlement). L'auteur d'une discrimination encourt jusqu'à 3 ans d'emprisonnement et 45 000 € d'amende.

    Il existe de nombreuses structures d'écoute et d'accompagnement :

    • les bureaux d'aide aux victimes (dans tous les tribunaux de grande instance) ;
    • les maisons de justice et du droit (MJD) présentes dans certaines communes éloignées des palais de justice ou dans les zones urbaines sensibles ;
    • le 08 842 846 37 qui vous offre une écoute confidentielle et gratuite ;
    • le réseau de l'Institut national d'aide aux victimes et de médiation (Inavem). qui fédère les associations d'aide aux victimes.

     

    source BIP

  • Handicap : Ségolène Neuville lance 'la réponse accompagnée pour tous

     

    En début d´expérimentation, un concept encore assez flou...

    En début d'expérimentation, un concept encore assez flou...



    Le terme utilisé jusqu'alors de "zéro sans solution" a sans doute dû sembler un peu trop négatif. C'est donc sous la nouvelle appellation de "réponse accompagnée pour tous" que Ségolène Neuville - la secrétaire d'Etat chargée des Personnes handicapées et de la Lutte contre l'exclusion - a esquissé, le 10 novembre, le futur dispositif destiné à éviter qu'un enfant ou un adulte handicapé se retrouve sans solution d'accueil à un moment de son parcours. La démarche, qui doit être expérimentée dans 23 "départements pionniers", constitue la suite de l'affaire Amélie Loquet.

    En début d'expérimentation, un concept encore assez flou

    La journée du 10 novembre - qui réunissait notamment les 23 départements expérimentateurs - a d'ailleurs été ouverte par Denis Piveteau, conseiller d'Etat et auteur du rapport "Zéro sans solution : le devoir collectif de permettre un parcours de vie sans rupture, pour les personnes en situation de handicap et pour leurs proches". Assistait également à cette séance, Anne-Sophie Desaulle, ancienne directrice générale de l'agence régionale de santé (ARS) des pays de la Loire, chargée d'une mission sur la réforme de la tarification des structures pour personnes handicapées, qui englobe la mise en œuvre du "zéro sans solution".

    A ce stade, le concept de "la réponse accompagnée pour tous" reste encore assez flou. L'objectif de l'expérimentation est précisément de l'affiner, avant une extension à l'ensemble du territoire. Dans son intervention, Ségolène Neuville s'est d'ailleurs bien gardée - sur ce sujet très sensible auprès des associations - d'esquisser des réponses formalisées.

    L'article 21 bis du projet de loi Santé

    Elle s'est contentée d'insister sur l'importance de l'article 21 bis (numérotation provisoire) du projet de loi Santé, qui est en passe d'achever son parcours au Parlement. Cet article consacre en effet "l'une des mesures importantes du rapport 'Zéro sans solution' : le dispositif d'orientation permanent" (le projet de loi parle plutôt de "plan d'accompagnement global"). Pour la ministre, cet article "instaure le principe du tour de table, de la concertation autour de la MDPH positionnée comme assembleur des solutions de proximité" et "pose l'exigence non négociable de la participation de la personne à cette concertation et son accord exprès pour que toute proposition puisse être transmise à la CDPAH".

    L'accueil des associations a toutefois été plus que mitigé, le comité d'entente n'hésitant pas à demander le retrait de l'amendement correspondant. Ségolène Neuville a d'ailleurs précisé que "l'article 21 bis n'est pas l'alpha et l'oméga du rapport et de sa feuille de route, mais il signifie clairement la fin de la 'politique de la chaise vide' et sa substitution par une 'politique de la solution partagée' et co-construite avec les personnes".

    Quatre axes de travail

    En attendant, quatre groupes de travail mis en place au cours de cette journée tracent néanmoins les grands axes d'une possible réforme. Le premier concerne le "dispositif d'orientation permanent" et sera piloté par la Caisse nationale de solidarité pour l'autonomie (CNSA), également chargée d'assister les départements expérimentateurs. Le second axe est celui de la "réponse territorialisée", animé par le secrétariat général des ministères sociaux.

    Troisième axe : la "dynamique d'accompagnement par les pairs", confié au secrétariat général du comité interministériel du handicap. Enfin le quatrième axe recouvre la "conduite du changement", sous l'égide de la direction générale de la cohésion sociale.

    A noter : la ministre est également restée floue sur le calendrier de la réforme. Elle a simplement donné rendez-vous aux participants "l'année prochaine pour faire le point sur cette première vague et lancer la seconde vague". D'autres départements, mais aussi des régions, souhaitent en effet rejoindre l'expérimentation.

     

    source Actualitéhandicap

  • De corrèze, quelques nouvelles

     

    Bonjour. Le session a basculé dans sa seconde partie. Le temps semble se contracter, mais non, c'est le temps qui passe. Les personnes se sont plongées dans les temps de travail proposés. La première série de modules technique est faite. Ce matin nous entamons la seconde série qui va voir 8 modules sur 9 se réaliser. Nous aurons donc des sous groupes de 4 à 5 personnes maximum. Les temps d'échanges de l'après midi ont permis une clarification de qui est Acteur à l'APF, d'en mesurer la diversité et surtout de se redire personnellement, en quoi je suis acteur au sein de l'association. Le temps d'hier après midi a permis de vivre et d'expérimenter un débat en direct et de commencer à en mesurer les ressorts pour que ces temps d'échanges soient des réussites. Aujourd'hui arrive sur la session le Président de l'APF, Mr Alain Rochon qui sera avec nous jusqu'a vendredi. Il vient nous rencontrer, et nous l'accueillons avec plaisir. Ce sera la troisième fois que nous accueillons un président de l'APF depuis 1998, dans une de nos sessions. Voila, la session suit son cours au bord de ce petit lac fort sympa quant le soleil arrive à traverser la masse nuageuse du Limousin. Quelques soucis wifi me limitent dans mes connections, et ne me permettent pas de mettre en page comme je voudrais ces notes. Voila pourquoi vous pouvez avoir ces notes au "kilomètre" ! L'essentiel est que nous tenons notre démarche et que cela commence à se voir sur les visages. Les participants de la session restent les meilleurs ambassadeurs de ce que nous faisons, alors n'hésitez pas à les solliciter à leur retour pour qu'ils vous racontent ce qu'ils ont vécu. Je vois certaines personnes s'ouvrir et retrouver un certain sourire au fil des jours. L'essentiel est surement là. La dynamisation, la mobilisation se fait par petites touches. A bientôt Denis VIVANT

     

    source APF

  • La SMAVA a debuté !

     

    Bonjour. Oui, nous y sommes enfin. la route, le temps, les évènements de ce week end, rien n'a empêché vraiment notre session d'ouvrir à Egletons. Tous sont là et peu à peu, chacun prend ses marques et ses repères et peu à peu le silence des premiers instants fait place à de la parole, de l'action, de la dynamisation qui se lit aussi sur les visages. Très bien logé, très bien accueilli, très bien restauré, tout est au rendez vous (sauf le temps) pour que chacun puisse vivre une session des mieux possibles. Le petit lac auprès duquel est adossé le village nous apporte de la quiétude. Ce mardi nous avons lancés nos 5 modules techniques et cet après midi nous avons lancé notre 1 er temps d'échange sur ce qu'est être un acteur à l'apf et quelle est sa place. C'est partis pour une semaine. Un souffle qui nous remet en selle, qui nous fait poursuivre la route, en actes et en paroles, ce dont nous avons tous besoins ces temps ci. Nous pourrions dire ici, cette phrase d'un moine bouddhiste : "il est trop tard pour être pessimiste". C'est ce que nous tentons de mettre en pratique tout au long de cette semaine. A très bientot Denis VIVANT

     

    source APF