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  • Et si nous allions faire un tour sur le site de Madame Najat Vallaud Belkacem ?

     

     le site: www.najat-vallaud-belkacem.com.

     

     Trois textes y sont présentés pour améliorer l’accueil des élèves en situation de handicap à l’école.

     

    -      A partir de la rentrée, l’ensemble de ces dispositifs collectifs (CLIS et ULIS) prendront le nom d’ULIS : ULIS école, ULIS collège, ULIS lycée, ce qui permettra une meilleure lisibilité pour les familles.

     

    -      La procédure de demandes d’aménagement des examens et concours de l’enseignement scolaire pour les candidats en situation de handicap sera améliorée pour permettre d’anticiper au mieux la mise en œuvre des aménagements souhaités, pour un plus grand confort des candidats.

     

    -      Les conditions dans lesquelles les candidats pourront avoir recours à une assistance humaine ou technique sont précisées notamment les conditions dans lesquelles les candidats pourront avoir recours à une assistance humaine ou technique dans le respect du principe d’égalité entre tous les candidats sont mieux définies.

     

    Incontestablement, toutes les avancées vers une école inclusive sont bonnes à prendre, mais prenez aussi le temps de lire les commentaires qui font suite au texte officiel, certains calment un peu l’effet d’annonce :

     

          Faire voter des textes, c’est une belle initiative ; encore faut-il veiller à ce qu’ils soient appliqués.

     

          Les belles promesses c’est bien beau

     

          Ce n’est pas en en changeant le nom que le dispositif deviendra plus efficace.

     

    Mais aussi : « Espérons que les mentalités changent en ce qui concerne le handicap à l’école et que nos enfants trouvent une place au sein de l’école »

    SOURCE bip

  • CIN'ECHANGES

    bonjour
    quelques dates à venir pour cin'échanges:
    - le 6 Novembre à 14h, nous choisirons le film de la séance du jeudi 12 Novembre
    ce sera à l'AHARP,  2A rue Buffon en centre ville

    - par ailleurs dans le cadre de notre partenariat avec le théâtre du Chêne Noir, il nous est proposé de venir voir un spectacle
    le mardi 24 Novembre à 14h30, en séance exceptionnelle à 8EUR " l'histoire de Clara"
    la description est jointe
    Nous avons besoin des réponses rapidement, avant le 23 octobre! merci!!

    à bientôt la joie de vous voir
    l'équipe de cin'échanges

  • Accessibilité et troubles du langage

     

     En 1975 il y a eu des lois pour l’accessibilité des bâtiments publics avec des normes et énormément de détails, parallèlement des personnes en situation de handicap avaient la possibilité d’acquérir des fauteuils roulants plus ou moins remboursés par la sécurité sociale.

    On peut  aussi obtenir l’aide d’assistantes de vie à domicile pour permettre de rester chez soi.

    En 2005 toutes les lois en faveur des personnes handicapées ont été renforcées avec notamment la remplacement de la « COTOREP » qui gérait

    les problèmes liés aux personnes handicapées par la MDPH

    (Maison Départementale des Personnes Handicapées) qui ont pour mission en autre d’évaluer de manière individuelle les besoins globaux de la personne handicapée y compris d’apporter des solutions techniques pour les personnes qui ont du mal à parler comme le financement de différents outils de communication par la MDPH après dépôt préalable de dossier.

     

    Malgré ses améliorations notables il y a toujours des personnes en situation de handicap qui ont du mal à se faire comprendre, d’autres qui ne parlent pas du tout ou même des personnes qui temporairement ont les mêmes difficultés (sortie d’opération avec anesthésie générale).

    L.PASTEUR.jpg

     

     

    dans les lieux publics on fait des annonces en utilisant tous les moyens de communication à notre disposition, symboles, annonces en différentes langues (français, anglais, espagnol) mais on ne fait toujours pas l’effort d’écouter

     

    source APF

  • Les risques à prendre en considération lors de la conversion de la pension d’invalidité en pension de vieillesse

     

     

    http://vos-droits.apf.asso.fr/images/loupe.jpg

     

    Les risques à prendre en considération lors de la conversion de la pension d’invalidité en pension de vieillesse

     

     

    Dans le régime général et les régimes assimilés, il est prévu que votre pension d’invalidité se transforme en une pension vieillesse pour inaptitude au travail, à compter du premier jour du mois suivant celui au cours duquel vous atteignez l’âge légal de départ à la retraite (60 ans pour ceux nés avant le 1er juillet 1951, entre 60 ans et 4 mois et 62 ans pour ceux nés après, selon leur date de naissance) sauf si vous vous opposez à cette substitution.

     

    Dans tous les cas, votre pension d’invalidité est supprimée à compter du 1er jour du mois du mois qui suit le l’âge condition de votre départ à la retraite.

     

    Cependant 3 possibilités, dont les conséquences financières sont très variables, s’offrent à vous :

     

    • Vous pouvez accepter la transformation de votre pension d’invalidité en pension vieillesse, vous continuerez, le cas échant, de percevoir votre majoration tierce personne.

     

    • Si vous souhaitez continuer d’exercer une activité professionnelle, vous pouvez vous opposer au remplacement de votre pension d’invalidité par la pension de vieillesse pour inaptitude, votre pension d’invalidité sera supprimée ainsi que, le cas échéant, votre MTP mais votre retraite ne sera liquidée qu’à la cessation de votre activité professionnelle.

     

    • Si vous ne répondez pas aux sollicitations des caisses de sécurité sociale (que vous continuiez ou non une activité professionnelle), votre pension d’invalidité sera supprimée, votre pension de retraite sera liquidée pour ordre (c'est-à-dire qu’elle ne sera pas versée) et vous pourrez, le cas échéant, percevoir votre MTP. En revanche les cotisations que vous pourriez verser entre l’âge légal de votre départ à la retraite en fonction de votre année de naissance et votre cessation définitive d’activité professionnelle, ne seront pas prises en compte dans le calcul de votre pension de retraite.

     

    Au regard de l’incohérence du dispositif et des conséquences financières très différentes qui peuvent en découler, il convient, avant de prendre une décision sur le sujet, de bien comparer toutes les situations notamment en demandant des estimations de pension auprès de votre caisse de retraite.

     

     

    source APF

  • CEREMA: la question du stationnement

     

    Le CEREMA vient de publier de nouveaux ouvrages relatifs au stationnement. Ces documents sont désormais disponibles sur leur site.

    Voir le lien suivant

     

    source APF

  • Doctissimo -spot

     

    Les sites à caractère médical sont souvent décriés, à tort ou à à raison. Libre à chacun d’avoir son opinion, mais nous tenons tout de même à signaler ici la présence sur le Blog de Doctissimo un spot de moins d’une minute trente qui, en partenariat avec OXO FILMS et la Fédération Loisirs Pluriel a voulu donner la parole aux familles à travers un documentaire, afin qu'elles puissent témoigner de leur quotidien.

     

    Un plaidoyer sur le handicap et le  polyhandicap avec comme objectif déclaré : Pouvoir vivre, grandir et rêver dans le même monde que les autres ! (suivre le lien)

    Le même monde, une plongée dans le quotidien des familles ayant un enfant handicapé

     

    source BIP

  • MDPH en danger

     

    Le 14 octobre l’APF appelle à  une journée nationale d’actions  afin de dénoncer les menaces qui pèsent sur les Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH), notamment, dans le cadre, du projet de loi d’adaptation de la société au vieillissement. 

    Depuis janvier 2014, l’APF est en effet mobilisée face à l’inquiétante question du devenir des MDPH dont l’indépendance et l’impartialité décisionnelle sont remises en cause par la  politique de certains conseils départementaux.

    Ces guichets uniques d’accès aux droits, grande avancée de la loi handicap de 2005, sont en danger : ils pourraient être remplacés par des dispositifs de plus en plus intégrés aux Conseils départementaux avec le risque de désavantages certains pour les personnes en situation de handicap et leur famille. Alors que de nombreuses personnes expriment déjà leurs difficultés pour accéder à leurs droits, cette remise en cause des MDPH va accroître ces complications !

     

    Aujourd’hui la priorité n’est pas de modifier les MDPH mais bien de leur donner des moyens supplémentaires afin d’améliorer leur fonctionnement dans l’objectif de répondre efficacement aux attentes et besoins des personnes.

     

    Ainsi, l’APF a lancé en mars dernier la campagne « Touche pas à ma MDPH ! » accompagnée d’une pétition en ligne sur www.change.org/TouchePasAMaMDPH pour interpeller le président de la République et le Premier ministre et demander des MDPH renforcées et indépendantes pour pouvoir accomplir toutes  leurs missions. Cette pétition  a recueilli plus de 34 000 soutiens ! 

     

    source APF

  • MDPH / Stop à la casse : l’APF interpelle Marisol Touraine

     

    A quelques jours de sa journée nationale d’actions « MDPH : Stop à la casse ! », l’APF vient d’écrire à la ministre des Affaires sociales, de la Santé et des Droits des femmes afin de lui demander un rendez-vous pour lui remettre les 35 000 signatures de la pétition « Touche pas à ma MDPH ! ».

    L’occasion de l’alerter sur le devenir des  Maisons départementales des personnes handicapées, la nécessité de garantir leur indépendance et renforcer leurs moyens.

    Pour lire le courrier, cliquez ici

     

    source APF

  • Lapeyre lance Vita Confort, une enseigne dédiée à l'accessibilité à Paris

     

     

     

     

    Une boutique proposant des produits dédiés à l’accessibilité du logement se doit d’être accessible.

     

    Une boutique proposant des produits dédiés à l’accessibilité du logement se doit d’être accessible.



    Le concept imaginé par Lapeyre dans le 15e arrondissement de Paris consiste à offrir une enseigne de distribution mariant une offre dédiée à l’accessibilité et au maintien à domicile des personnes âgées et/ou handicapées, avec un accueil spécifique.

    Une boutique proposant des produits dédiés à l’accessibilité du logement se doit d’être accessible. C’est le constat simple mais pourtant pas toujours si évident qu’a fait l’enseigne de distribution spécialisée dans l’aménagement de l’habitat, Lapeyre.

    Voici donc Vita Confort, première enseigne spécialisée, dédiée à l’accessibilité pour tous (famille, seniors, personnes en situation de handicap, aidants… ) dans l’habitat, dont la première boutique est située à Paris (15e arrondissement).

    Entièrement accessible, elle est équipée de systèmes favorisant l’accessibilité de tous : ouverture automatique à l’entrée, balise de guidage sonore, boucle à induction pour appareil auditif à l’accueil, dispositif de traduction simultanée en langue des signes et en sous titrage… L’accueil est effectué par des conseillers formés à l’accessibilité, à même d’orienter les clients, et les produits sont exposés « en situation » par exemple dans des salles de bains ou une cuisine adaptées aux besoins de tous avec des produits modernes et non stigmatisant.

    Elle propose également différents « espaces produits » avec :

    Un libre-service dédié aux produits participant à améliorer le confort et la circulation dans l’habitat ;

    Un corner dédié aux produits domotiques pour dévoiler toutes les solutions qui garantissent la sécurité et la gestion de l’habitat.

    Par ailleurs, pour que chacun puisse concevoir un habitat conjuguant bien-être, sécurité et accessibilité quel que soit son âge, Vita Confort met à disposition toute une gamme de services spécifiques :

    Un numéro unique permettant de prendre rendez-vous en magasin ou à domicile ;

    L’intervention d’un ergothérapeute pour travailler sur le projet d’aménagement lorsqu’il le nécessite ;

    L’installation à domicile par des partenaires professionnels certifiés Handibat (Capeb);

    La livraison à domicile.

     

    source handicapinfos

  • Publication du centre de ressources multi handicap

     

     

    Le centre de ressources multi handicap1 a publié en mars dernier une étude sous le titre : Le conseil de la vie sociale, levier de changement : une citoyenneté en mouvement…

     

    Tout en vous invitant à lire l’intégralité de cette étude réalisée avec le concours d’établissements accueillant des personnes adultes handicapées (Pdf, 113 pages.) nous reprenons ici quelques éléments de la conclusion.

     

    Le terme de « famille » disparaît pour laisser la place au statut juridique de représentant légal qui pourrait venir occulter le champ de la relation affective et du lien familial sans être compensé par des mesures d’accompagnement. Ainsi, si l’engagement des acteurs paraît indispensable pour que cette instance (le CVS) fonctionne et produise une réflexion partagée, leur  engagement et leur rôle ne sont pas précisés ; en particulier, en ce qui concerne les familles.   

     

    Au vu des difficultés qu’éprouvent certaines associations pour favoriser l’engagement et l’implication de nouveaux parents et à la lecture des textes sur le conseil de la vie sociale, l’évolution pourrait être la disparition d’associations de parents par manque de bénévoles au profit d’associations d’usagers capables de faire reconnaître leurs droits. Cela pourrait être considéré pour l’expression des droits de la personne accueillie, comme une avancée, voire un aboutissement.  Cependant, il est nécessaire de s’interroger sur cette évolution. En quoi celle-ci contribue-t-elle à l’exercice de la citoyenneté pour TOUS ? Qu’en est-il de la préservation et de la défense des droits des personnes accueillies, lorsque l’on observe la raréfaction de représentants capables de défendre les personnes les plus fragiles ne pouvant se représenter elles-mêmes, telles que les personnes polyhandicapées ?  

     

    Par ailleurs, il est nécessaire de disposer au sein des conseils de la vie sociale d’un participant, au moins, qui occupe une place spécifique, permettant à chacun d’intervenir sans avoir à se défendre, se justifier, mais surtout en centrant l’écoute et la parole sur les personnes accueillies. C’est assurément la place d’un président de séance, tel qu’on peut l’envisager dans une instance parlementaire, mais elle ne correspond pas  à celle d’une personne polyhandicapée au sein du conseil de la vie sociale.

     

    Il y aurait un déni du handicap à considérer qu’il suffit de prendre une fonction pour l’occuper et un déni des droits du citoyen à évincer une personne au motif de son handicap.

    Ndlr : Voilà matière à réflexion non ?

     

    source bip