Loisirs - Page 4

  • Le vélo sans descendre de son fauteuil grâce à Benur

    C’est déjà demain, l’émission de France Inter consacrée aux innovations qui vont changer nos vies s’intéressait au handicap, le jeudi 16 novembre. Au programme : Benur, le premier tricycle permettant de faire du vélo sans quitter son fauteuil roulant.

    Le nom de ce tricycle sonne comme celui d’un péplum : Benur. Mais il ne date pas de l’époque romaine. Bien au contraire, il est bien ancré dans le XXIe siècle et source d’innovation. Grâce à lui, pour faire du vélo, plus besoin de se transférer de son fauteuil roulant. Une large plate-forme et une rampe d’accès rétractable permettent en effet de monter dedans, directement. Sans aide. Pour avancer, il suffit ensuite d’utiliser le pédalier à main, situé à l’avant et doté d’une assistance électrique.

     

    pour lire l'article dans son intégralité : http://www.faire-face.fr/2017/11/22/cyclisme-descendre-de-fauteuil-grace-a-benur/

     

    source : faire face

  • Guillaume Bats : « Pour rire des autres, il faut d’abord savoir rire de soi-même. »

    Après un été au festival d’Avignon où il a cartonné, l’humoriste Guillaume Bats reprend son spectacle Hors cadre ! à Paris tous les lundis soirs et en province. Faire Face l’a rencontré avant un lever de rideau à la Comédie des Boulevards.

    Faire Face : Votre spectacle a affiché complet pendant tout le festival OFF d’Avignon. Vous revenez à Paris dans une nouvelle salle avec votre spectacle Hors Cadre !. Comment se passe cette rentrée ?

    Guillaume Bats  : Après un super festival d’Avignon, je suis heureux de retrouver le public parisien dans une salle où je suis proche des gens. J’aime ce contact, cette proximité. Avec le temps, l’expérience, l’assurance, on se permet des choses nouvelles. J’improvise une partie du spectacle et je me rends compte que je me lâche de plus en plus.

    FF : Votre spectacle plaît. Le public suit. C’est rassurant, ce succès ?

    G.B : Même si ma carrière est lancée, la marge de progression reste grande. Je ne remplis pas encore Bercy ! On cherche toujours à faire mieux. J’essaie de construire petit à petit un parcours sur des bases solides.
    Chaque soir est différent. Aucun public ne se ressemble. Il faut savoir en jouer. Parfois, c’est un spectateur qui a un rire particulier et je m’en sers pour faire rire les gens, parfois c’est autre chose.

    FF : Il a tellement d’humoristes… Votre handicap vous a-t-il aidé à vous démarquer ?

    G.B : Je ne me voile pas la face. Évidemment que mon handicap crée une originalité. Mais il faut aller au-delà du buzz de l’artiste handicapé pour s’inscrire dans la durée. Avant tout, je suis un humoriste avec un propos. Il y aura bien des personnes pour dire ou penser que je réussis grâce à mon handicap, mais sincèrement je ne le crois pas.

    Pour lire l'article dans son intégralité : http://www.faire-face.fr/2017/10/02/guillaume-bats-humour-handicap/

    Source : Faire face 

  • Le nouveau programme des sorties est enfin disponible!

    Il est beau il est frais, voici le nouveau programme des sorties culturelles et loisirs!

    Au menu: sortie au musée, à la ferme aux crocodiles, spectacle de cirque, cinéma et marché de Noël.

    Vous trouverez aussi les dates des prochains Repas Partage.

    N'hésitez pas à vous inscrire et à partager autour de vous!

    Pour tout renseignement, vous pouvez contacter le secrétariat de la délégation au 04 90 16 47 40.

     

    v3 Programme sorties 84 4 eme trim 2017-2.pdf

     

  • Journée Restaurant et Casino à La Ciotat avec la délégation des Bouches du Rhône

    Encore une belle journée hier pour nos adhérents et bénévoles qui se sont retrouvés avec ceux de la délégation des Bouches du Rhône, pour un moment convivial au restaurant et au Casino de La Ciotat. Un de nos adhérent a touché le pactole : 58 centimes!!!
    Pour finir la journée, une petite ballade dans les rues de La Ciotat.
    Nous retrouverons la délégation du 13 prochainement pour un nouveau temps d'échange.

    Voici les photos!

  • Défi d'Audrey : 4300 km en mer avec un handicap

    Audrey Barbaud, 27 ans, est la rédactrice du blog Roulettes et sac à dos. Si la maladie de Charcot Marie Tooth affaiblit ses muscles, elle ne fait certainement pas reculer ses envies. Canada, Guadeloupe, Allemange… Sur la Toile, la jeune femme partage ses expériences de voyageuse en fauteuil et souhaite montrer que vivre ses rêves malgré les difficultés est toujours possible. Après avoir testé la voile en 2014, elle se découvre une nouvelle passion et multiplie les sorties en mer. En 2017, Audrey se fixe le désir de réaliser une traversée de l'Atlantique et de relier Las Palmas, aux Canaries, à la Martinique en voilier habitable. Départ prévu pour début novembre 2017 !

    Plus de 4 000 kilomètres en mer

    Pour ce nouveau défi sportif, l'embarcation se fera à bord du bateau de croisière adapté Pierre de Lune, de l'UCPA (Union nationale des centres sportifs de plein air). Dans le sillon de la Mini-Transat 2017, Audrey et l'équipage parcourront en deux semaines 2 700 miles (soit 4 345 kilomètres) pour arriver en Martinique mi-novembre 2017. « Notre rôle lors de cette course est le même que celui des autres bateaux accompagnateurs : faire le lien entre le PC course et les concurrents et venir en aide aux skippers qui rencontreraient des problèmes », explique Audrey.
    Pour mener à bien le projet, cinq marins constitueront l'équipage du Pierre de Lune. Pour le moment, deux week-ends « tests » ont été effectués en mer, pour faire connaissance et appréhender les capacités de chacun. En pratique, pour monter et descendre du bateau, Audrey est assise dans le siège de mât et hissée grâce à la drisse de grand-voile. « Quant à mon fauteuil roulant manuel, que j'utiliserai à terre lors des escales, il sera stocké dans l'une des cabines ». L'aide des co-équipiers sera également nécessaire, l'équilibre se faisant plus précaire en pleine mer.

     

    Pour lire l'article dans son intégralité : https://informations.handicap.fr/art-mini-transat-audrey-ucpa-865-10119.php

    Source : Handicap.fr

  • En Colombie, tourisme et parapente accessibles aux aveugles

    Danser la salsa, se promener dans les autobus colorés de Colombie, s'élancer en parapente... À Cali, un groupe de touristes fait tout cela, à un détail près : ils sont aveugles ou malvoyants. Venus de plusieurs pays d'Amérique latine et d'Europe, 69 étrangers sont arrivés dans la troisième ville de Colombie pour profiter de « vraies » vacances, grâce à un programme spécialement conçu pour eux et déjà testé en Argentine et au Mexique.

    Guider avec précision

    Pour découvrir Cali, commune entourée de vert et qui a tourné la page du narcotrafic pour lequel elle était tristement connue, ces touristes d'un nouveau genre sont guidés avec soin. « Cela me semble une expérience merveilleuse », se réjouit Rafa Matos, Espagnol de 47 ans participant au programme. On a les gens qui nous expliquent à tout moment ce qui nous entoure, le chemin, les endroits où l'on marche », raconte-t-il. Derrière cette initiative atypique, l'Argentin Pablo Lecuona, 43 ans, a d'abord lancé en 1999 la première bibliothèque numérique pour aveugles en espagnol, Tiflolibros, avec plus de 50 000 titres. Il s'est ensuite rendu compte que, s'il voulait aider cette communauté, il fallait aller plus loin.

    L'épreuve du tourisme

    « En contactant d'autres personnes, j'ai vu que beaucoup avaient envie de connaître l'Argentine ou d'autres pays, mais en ayant un handicap visuel, ils n'osaient pas voyager car souvent les hôtels ne sont pas adaptés ou prennent peur en voyant une personne malvoyante », explique Pablo. Pour les aveugles et malvoyants, faire du tourisme est habituellement une épreuve, car « les gens ne savent pas comment s'occuper de nous et cela ne nous aide pas du tout », témoigne Rafa.

     

    Pour lire l'article dans son intégralité : https://tourisme.handicap.fr/art-colombie-vacances-aveugles-1028-10115.php

    Source : Handicap.fr

  • Pour sa fille, il construit un parc accessible au handicap

    Morgan's Wonderland, situé à San Antonio, au Texas, n'est pas un parc d'attractions comme les autres. Son constructeur, Gordon Hartman, ancien promoteur immobilier, est le papa de Morgan, aujourd'hui âgée de 23 ans, atteinte d'une forme d'autisme et se déplaçant en fauteuil roulant. En 2007, Gordon se rend compte que le handicap de sa fille de 13 ans ne lui permet pas d'accéder aux parcs du pays. Pour elle, il décide de vendre ses entreprises de bâtiment afin de financer la construction d'un parc réellement accessible à tous les enfants handicapés et la création d'une fondation à but non lucratif qui puisse œuvrer dans ce sens.

    Des thérapeutes concertés

    Pour mener à bien son projet, Gordon Hartman réunit médecins, thérapeutes et parents. Le groupe a alors imaginé des attractions compatibles avec tout type de handicap. Morgan's wonderland voit le jour quelques années plus tard sur le site d'une ancienne carrière désaffectée de San Antonio. Il abrite aujourd'hui une grande roue, une aire de jeux ainsi qu'un train miniature. Le coût de ce projet familial titanesque ? 51 millions de dollars, dont 34 millions pour la construction.

    Pour lire l'article dans son intégralité : https://informations.handicap.fr/art-parc-attraction-handicap-853-10110.php

    Source : Handicap.fr

  • Centres de loisirs à parité : 50 % d'enfants handicapés

    Il faut lui parler en langue des signes". Rachel, 6 ans, intervient quand elle constate les difficultés de communication entre Michel-Ange, 9 ans, atteint de troubles autistiques, et les visiteurs du centre de loisirs "à parité" (Clap), dans le sud parisien. Ici, enfants handicapés et valides se découvrent dès le plus jeune âge. Dans ce centre du XIVe arrondissement, visité le 3 août 2017 par Sophie Cluzel, secrétaire d'Etat en charge du handicap, une trentaine d'enfants de 3 à 14 ans sont accueillis les mercredis et pendant les vacances scolaires, encadrés par huit personnes.

    50 % des places pour enfants handicapés

    La moitié des places sont réservées à des enfants porteurs d'un handicap moteur, intellectuel ou sensoriel. Plusieurs enfants sont autistes, dont certains ne parlent pas, un petit garçon est en fauteuil roulant, un autre est trisomique. Pour faciliter la communication, les animateurs utilisent des pictogrammes ou la langue des signes, dont les enfants "valides" ont également appris les rudiments. Rassemblés avant le déjeuner, les enfants lancent un gros cube et, selon le résultat, doivent dire ce qui leur a plu, les a chagrinés ou mis en colère dans la matinée. Giovanni, 8 ans, qui maîtrise bien la langue des signes car son frère est sourd, est sollicité plusieurs fois pour "traduire".

    9 centres à Paris

    Paris compte neuf centres de loisirs "à parité", sept gérés par la municipalité et deux par la fédération Loisirs Pluriel, à l'origine du concept et qui opère dans 23 autres centres en France. Ces structures favorisent un "changement de regard : les enfants valides vont rencontrer la différence" et deviendront "peut-être des adultes un peu plus tolérants", explique Nathalie Emo, directrice du centre de ressources enfance handicapée de la Mairie de Paris. Ici, les enfants jouent ensemble, se font des amis. Mais "ce sont des enfants en premier. Le lien se fait ou ne se fait pas", souligne Mme Emo.

    Beaucoup plus d'animateurs

    Rachel, qui est diabétique, ne fréquente le centre que depuis juin mais s'y plaît bien, explique sa maman, Sophie, qui apprécie qu'il y ait "beaucoup plus d'animateurs" que dans un centre classique. "Au départ, elle m'a dit qu'elle avait peur" des enfants agités. "Je lui ai dit qu'elle devait en parler aux animateurs, et je lui ai expliqué que c'était juste des grands enfants, et qu'ils étaient dans leur tête comme sa cousine qui a 3 ans. Elle a très bien compris, et ça se passe très bien". "J'aime bien", souffle Bilal, 10 ans, devant les journalistes. "Il y a mes amis. On peut faire des jeux, on peut les aider, comme ça au moins ils seront pas tout seuls".

    Pour lire l'article dans son intégralité : https://informations.handicap.fr/art-loisirs-centres-handicap-853-10087.php

    Source : Handicap.fr

     

  • GEOFFREY DERAPE FESTIVAL AVIGNON OFF 2017

    Vous connaissez beaucoup de vedettes qui font leur show sur 4 roues ?  A part Johnny Hallyday et le Pape, il y a aussi Geoffrey, bien confortablement installé dans son fauteuil roulant.
     
    Venez vous mettre en danger de rire dans son ONE MAN SHOW où il dérape avec un humour sans contrôle.
     
    Vous avez des préjugés sur les handicapés ? Geoffrey en a aussi mais il va vite vous décomplexer.
    Au travers de ses sketchs, il vous embarquera dans un humour plein d'autodérision en passant par des pointes d'humour noir et des moments d'émotion.
     
    Geoffrey sort des limites du handicapement correct et vous resterez scotchés à votre fauteuil.
     
    Vous n'en ressortirez pas handifférent.
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