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  • Halloween à l'APF

    Venez feter Halloween avec l'APF
    le Mardi 31 Octobre 2017 dans nos locaux

    Vous trouverez ci-dessous le programme de l'Aprés-midi et le coupon réponse à nous retourner si vous souhaitez y participer.

    Participation demandée : 2.00€

    Nous vous attendons nombreux!!!

    informations au 0490164740


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  • Déficients auditifs : l'école maltraite leurs tympans ?

    Environ 12 000 élèves avec déficience auditive suivent les enseignements dans les écoles françaises (source Éducation nationale). Plus de 40% d'entre eux sont en inclusion individuelle en classe. Environ 500 enfants par an sont équipés d'implants cochléaires et 2 enfants sur 1 000 naissances se voient équipés d'aides auditives au cours de leur vie scolaire. Les troubles de l'audition toucheraient par ailleurs 20% des jeunes âgés de 18 à 20 ans en raison de traumatismes sonores aigus. Ces enfants vont être plus particulièrement gênés par le bruit dans les classes, dans la cours de récréation et à la cantine. La nuisance sonore peut alors réellement être considérée comme un agent pathogène et affaiblissant les potentiels.

    Agressés par le bruit à l'école

    Face à ce constat, l'association JNA (Journée nationale de l'audition) invite à accentuer les efforts de réduction du bruit dans les classes et à développer un programme de qualité de vie dans les établissements scolaires. Selon une enquête menée en 2016 (JNA-Ifop), 4 jeunes sur 10 indiquaient en effet se sentir « agressés » par le bruit à l'école. Cette gêne concerne tous les enfants et peut provoquer des symptômes ORL tels qu'une fatigue auditive normalement passagère ou des troubles plus sérieux de l'audition. La simple fatigue auditive modifie les capacités de compréhension de la parole de l'enseignant. Chez les enfants appareillés, malgré la présence de réducteurs de bruit intégrés dans les aides auditives et implants cochléaires, l'intelligibilité de la parole de l'enseignant peut alors être altérée, ce qui peut engendrer nervosité chez l'élève qui se sent agressé par le bruit ou doit produire des efforts supplémentaires pour comprendre.

    Pour lire l'article dans son intégralité : https://informations.handicap.fr/art-ecole-deficients-auditifs-24-10213.php

  • Une candidate en situation de handicap aux législatives

    Candidate en situation de handicap, mais surtout femme engagée : Portrait de Fatima Khallouk, jeune femme qui s’est présentée aux dernières élections législatives.

    Nous avons le plaisir de vous présenter le portait de Fatima, jeune femme candidate en situation de handicap lors des dernières élections législatives. Elle nous raconte cette expérience.

    Fatima Khallouk, 41 ans (presque), est chargée de mission citoyenneté au sein d’une grande association de malades, après une expérience de 11 ans comme interprète de conférence et traductrice, et deux années passées à travailler sur le programme de mise en accessibilité des agences d’une banque. Fatima est en situation de handicap moteur à la suite d’une polio contractée à l’âge de 15 mois. Elle a grandi en Bourgogne dans une famille ouvrière, aux côtés de 6 frères et sœurs qui sont des exemples de ce que l’école républicaine peut réussir de meilleur. Lors des dernières Législatives, Fatima, plébiscitée par les militants de son parti, s’est lancée dans l’aventure du suffrage universel.

    Quel était votre engagement politique ces dernières années ?
    D’aussi loin que je me souvienne, dès le début de l’adolescence, je crois, je me suis intéressée à la chose publique, à la lutte contre les injustices sociales. Ma famille était très politisée alors et je me suis située à gauche, bien avant de pouvoir voter. Plus tard, je me suis engagée dans le syndicalisme étudiant, puis au PS, en parallèle de mes engagements associatifs. Après les reniements successifs de ce parti, j’ai décidé d’adhérer au Parti Communiste Français, dont je me sentais proche (j’étais plutôt PS-aile très à gauche que Rocard-Valls évidemment).

    Pour lire l'article dans son intégralité : https://www.handirect.fr/candidate-en-situation-de-handicap/

    Source : Handirect.fr

  • Guillaume Bats : « Pour rire des autres, il faut d’abord savoir rire de soi-même. »

    Après un été au festival d’Avignon où il a cartonné, l’humoriste Guillaume Bats reprend son spectacle Hors cadre ! à Paris tous les lundis soirs et en province. Faire Face l’a rencontré avant un lever de rideau à la Comédie des Boulevards.

    Faire Face : Votre spectacle a affiché complet pendant tout le festival OFF d’Avignon. Vous revenez à Paris dans une nouvelle salle avec votre spectacle Hors Cadre !. Comment se passe cette rentrée ?

    Guillaume Bats  : Après un super festival d’Avignon, je suis heureux de retrouver le public parisien dans une salle où je suis proche des gens. J’aime ce contact, cette proximité. Avec le temps, l’expérience, l’assurance, on se permet des choses nouvelles. J’improvise une partie du spectacle et je me rends compte que je me lâche de plus en plus.

    FF : Votre spectacle plaît. Le public suit. C’est rassurant, ce succès ?

    G.B : Même si ma carrière est lancée, la marge de progression reste grande. Je ne remplis pas encore Bercy ! On cherche toujours à faire mieux. J’essaie de construire petit à petit un parcours sur des bases solides.
    Chaque soir est différent. Aucun public ne se ressemble. Il faut savoir en jouer. Parfois, c’est un spectateur qui a un rire particulier et je m’en sers pour faire rire les gens, parfois c’est autre chose.

    FF : Il a tellement d’humoristes… Votre handicap vous a-t-il aidé à vous démarquer ?

    G.B : Je ne me voile pas la face. Évidemment que mon handicap crée une originalité. Mais il faut aller au-delà du buzz de l’artiste handicapé pour s’inscrire dans la durée. Avant tout, je suis un humoriste avec un propos. Il y aura bien des personnes pour dire ou penser que je réussis grâce à mon handicap, mais sincèrement je ne le crois pas.

    Pour lire l'article dans son intégralité : http://www.faire-face.fr/2017/10/02/guillaume-bats-humour-handicap/

    Source : Faire face 

  • Uni cité recrute

    Unis-cité Vaucluse Recrute 47 jeunes en SERVICE CIVIQUE

    Tu as entre 16 et 25 ans ? Tu as envie de consacrer une étape de ta vie à la solidarité ? Tu as envie de partager cette aventure avec d’autres jeunes venus d’horizons différents ?

    L’aventure Unis-Cité est faite pour toi à 100% !

    ✔  Tu rejoindras une équipe et t'enrichiras de sa diversité

    ✔  Tu bénéficieras de formations et d'un accompagnement personnalisé dans ton projet

    ✔  Tu recevras une indemnité mensuelle d’environ 577€

     

    Aucune compétence, aucun diplôme n’est exigé. Seule la MOTIVATION compte !

     

    Si tu es intéressé(e), RDV tous les lundis à 10h00 pour une réunion d'information dans nos locaux au 7, rue THIERS à Avignon (à proximité direct de la place Pie)

    À cette occasion, nous te présenterons les 2 missions proposées par Unis-Cité en Vaucluse et les modalités de recrutement. À l’issue, nous te remettrons un dossier de candidature.

    Nos missions

    «Rêve et Réalise»: (Nombre de postes à pourvoir 15) Tu pourras monter ton projet solidaire en solo, en binôme ou en trinôme . Tu seras accompagné par des professionnels. Tu devras porter et réaliser des actions d’utilité sociale. Tu bénéficieras de formations au montage de projet.

     

    «Cinéma et Citoyenneté»: (Nombre de postes à pourvoir 32) Tu devras prospecter les collèges et lycées de ta ville. Tu devras y animer en équipe des Ciné- débats. Tu bénéficieras de formations spécifiques (prise de parole en public, analyse filmique, techniques originales d’animations de débats).

     

    Infos pratiques

    • Démarrage de la mission : octobre 2017
    • Durée: 8 mois
    • Lieu de réalisation: Département de Vaucluse et Grand Avignon

    Pour plus d’informations, merci de contacter le : 06.99.03.77.33/07.61.88.68.65

    uniscite84@gmail.com

    www.uniscite.fr

  • Citoyens handicapés, vidéos au poing

    Pour faire valoir leurs droits, de plus en plus de personnes handicapées font circuler des vidéos sur les réseaux sociaux. Elles y expliquent leurs galères ou dénoncent des injustices. Le documentaire Handicap : le combat des citoyens oubliés, diffusé lundi 2 octobre sur Planète+, montre ce nouvel activisme virtuel mais bien réel.

    « Partagez un maximum pour qu’on finisse par nous entendre là-haut. » L’appel de Sarah Salmona, en juin dernier, a été reçu par les internautes. En cinq jours, sa vidéo avait été vue plus de 300 000 fois. Elle demandait au président de la République de « résoudre le problème des restrictions d’aide humaine » décidées par les Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH). Dans la foulée, elle était invitée au 13 heures de France 2 puis reçue au secrétariat d’État chargé des personnes handicapées.

    Un film d’animation pour dénoncer le prix de l’amour

    Sarah Salmona est l’une des héroïnes du documentaire Handicap, le combat des citoyens oubliés, diffusé à partir de lundi 2 octobre sur Planète+. Avec Laura-Julia Fiquet, qui avait posté une vidéo sur Internet où elle décrivait les difficultés rencontrées pour scolariser Johan, son fils autiste. Ou bien encore Kevin Polisano. Cet ingénieur tétraplégique a mis en ligne sur YouTube un court film d’animation pour dénoncer le prix de l’amour : la prise en compte des ressources du conjoint pour calculer le montant de l’allocation adulte handicapé.

    Beaucoup de ces vidéos passent inaperçues

    Le parti pris de la collection “Sous le radar”, dont fait partie le documentaire réalisé par Antoine Guerre, est de traiter un sujet en prenant comme point de départ les images réalisées par des citoyens et relayées sur les réseaux sociaux. « Cette nouvelle réalité est en train de devenir une source d’information majeure », explique le journaliste et producteur, Paul Moreira, qui a imaginé le concept. 

    Beaucoup de ces vidéos passent inaperçues. D’autres, comme celles de Sarah Salmona, Laura-Julia Fiquet ou Kevin Polissano connaissent un succès viral. Jusqu’à être reprises, pour certaines, par les médias traditionnels, voire à déboucher sur une solution.

    Pour lire l'article dans son intégralité : http://www.faire-face.fr/2017/09/28/handicapes-videos-poing/

    Source : Faire Face

  • Âne et handicap : tester la rando en charrette adaptée !

    En 2017, le slogan des âniers réunis au sein de la FNAR (Fédération nationale ânes et randonnées), c'est la « Rando pour tous » ! Le samedi 14 octobre 2017, une quinzaine d'entre eux ouvrent leurs portes dans toute la France. Tout au long de l'année, les ânes emmènent groupes et familles en balade durant une journée voire plus sur des sentiers ou des itinéraires créés pour la circonstance. Cette expérience rencontre un vif succès auprès des petits et grands.

    Une charrette pour personnes handicapées

    Les professionnels du secteur manifestent la volonté de s'engager dans la démarche découverte de l'âne et la randonnée pour les personnes en situation de handicap avec une approche pédagogique, thérapeutique ou d'accessibilité. Pour ce faire, certains ont investi dans du matériel spécifique comme l'escargoline, une charrette à trois roues, qui assure le transport d'une personne en situation de handicap sur tous types de chemins. Les qualités physiques des ânes lui permettent de porter ou tracter avec conviction et humilité des charges importantes et la randonnée peut donc se faire en toute confiance.

    Auprès des personnes vulnérables

    « Contrairement aux idées reçues, l'âne est un animal calme et serein en toutes circonstances, explique la FNAR. Il est doux, affectueux, attentif aux autres et, surtout, apprécie la compagnie de tous les humains », notamment des personnes parfois vulnérables. « Dès le premier contact, un lien de confiance et d'affection se crée. Il convient donc parfaitement à un travail de médiation ou d'approche thérapeutique de la randonnée ».

    Pour lire l'article dans son intégralité : https://tourisme.handicap.fr/art-rando-anes-handicap-1028-10211.php

    Source : Handicap.fr