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  • C'est mon histoire ! « Chef d’entreprise, je n’embauche que des personnes handicapées. »

    Serge Dessay a passé six ans en fauteuil roulant. Après cette expérience, il décide de créer une entreprise. La raison ? Donner du travail aux personnes handicapées. Aujourd’hui, à Hotravail, ces dernières représentent 96 % des effectifs.

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    « Je me suis retrouvé en fauteuil à 24 ans après un accident dans l’armée. Fracture des jambes, du bassin, coma… J’en suis sorti entièrement paralysé du côté gauche. Les médecins étaient catégoriques : je ne remarcherais jamais. Six ans plus tard, j’étais debout.

    Je suis la preuve que la médecine, science très précise, dit souvent des bêt

    ises. Et j’en parle aisément : je me destinais à être psychiatre. Mais cet accident a changé le cours de ma vie. Je suis devenu patron en  lançant mon entreprise de service aux particuliers en 1990.

    Recruter et vendre d’abord des compétences

    Hotravail  emploie 380 salariés, à 96 % des travailleurs handicapés, au sein de quatorze structures du grand Sud-Ouest, de Saintes à Avignon. Nous assurons l’entretien de plateformes logistiques d’Auchan, la maintenance de vélos de La Poste, la pose des futurs compteurs Linky d’EDF…

    J’embauche et je vends d’abord des compétences. Nullement du handicap. Notre but ? Un travail bien fait. Pour cela, nous pensons l’organisation du travail en intégrant les handicaps de chacun. C’est sans doute la principale différence avec une entreprise lambda.

    Favoriser l’émulation grâce à la diversité

    Quand un chantier se présente, seule la capacité du salarié à pouvoir réaliser une partie du boulot en complément des autres est jaugée. C’est efficace et beaucoup plus productif. Chacun apporte sa compétence au groupe et tire les autres vers le haut. La diversité favorise l’émulation.

    Penser l’adaptation du travail nous donne aussi parfois une longueur d’avance. Comme l’un de nos jardiniers maniait difficilement les tondeuses thermiques, nous avons fait venir des États-Unis une machine électrique télécommandée. Un fort coût mais elle fait le travail de cinq personnes !

    Un autre salarié, atteint par la maladie de Friedreich, ne pouvant plus écrire, nous avons mis en place un numéro vert pour qu’il dicte, depuis un téléphone dans sa voiture, ses devis à une secrétaire de production. Résultat ? Ses devis partaient le lendemain alors qu’ils mettaient trois ou quatre jours dans les autres services. Évidemment, le numéro vert a été étendu à tout le groupe.

    Créer le plus de postes possible

    Nous avons le statut d’entreprise adaptée. À ceux qui disent que nous réussissons grâce aux subventions publiques, aux aides aux postes, je réponds que nous faisons gagner

    de l’argent à tout le monde. Quand l’État donne 1 € à une entreprise adaptée, il récupère 1,40 €. Une étude de KPMG (réseau international de cabinets d’audit et de conseil exerçant dans 155 pays, NDLR) le confirme.

    Pourtant, Hotravail n’a pas été facile à créer. Administrativement, une galère. Deux ans à convaincre les services de l’État de l’intérêt du projet et à obtenir l’agrément d’atelier protégé. En pratique, une réussite. Je suis passé de deux salariés à quinze en six mois. Cinq ans plus tard, une cinquantaine et une ouverture à de nouveaux métiers en fonction des demandes des clients. De grands groupes travaillent avec nous : Orange, Airbus, Safran…

    L’emploi des personnes handicapées rapporte ! C’est pour raison qu’il faut créer le plus possible de postes. Ce que je fais depuis un quart de siècle. Et c’est une aventure passionnante alors que, dans une autre vie, j’aurai peut-être été un psychiatre ennuyeux ! » Propos recueillis par Aurélia Sevestre

     

    Source : Faire face

  • Nouveau ! HANDI-MOVE Le soulève-personne mural, une solution compacte et facile à installer

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    Le soulève-personne mural de Handi-Move est un système de levage très facile à installer, qui peut être utilisé avec un lit, une toilette, une baignoire, une douche,… Transportable, il se fixe contre un mur ou sur une colonne. Résultat : un même soulève-personne mural peut être utilisé dans différentes pièces.

    Le soulève-personne mural de Handi-Move comporte de nombreux atouts :

    • Il est économique
    • Il s’installe facilement
    • Il fonctionne sur le réseau électrique
    • Il dispose d’un mécanisme de sécurité intégré
    • Il est mobile, tournant à 180°
    • Il a un bras télescopique
    • Il s’utilise avec châssis-mains ou sangles

    Vous pouvez le découvrir en vidéo, pour cela : Cliquez-ici

     

    Accueil chaleureux, conseils judicieux, suivi rigoureux : la philosophie Handi-Move…

    Chez Handi-Move nous attachons beaucoup d’importance à offrir à tout moment un service impeccable. Notre philosophie d’entreprise est fondée sur l’accessibilité et la transparence. Quels que soient votre question ou problème, chez Handi-Move nous travaillons toujours de la même façon :

    1. Analyse gratuite de vos besoins de transfert
    2. Offre de prix
    3. Installation professionnelle par l’équipe de Handi-Move
    4. Formation et mise en service
    5. Garantie, réparation et entretiens fiables

    Accueil chaleureux, conseils judicieux, suivi rigoureux des commandes et services après-ventes professionnels font partie de notre image de marque.

    Pour en savoir plus sur leur façon de travailler : cliquez-ici !

    Source : Faire face

  • Planning des sorties 1er Trimestre 2017

    Voici le planning des sorties pour le 1er trimestre 2017

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    Les inscriptions se font au secrétariat de la délégation en Avignon situé 72 Boulevard Jules Ferry 84000 Avignon.

    Le secrétariat est ouvert du Lundi au Vendredi de 9H à 12H30 et de 13H30 à 17H00 et ceci meme durant les vacances scolaires.

    Nous vous rappelons que vous devez être adhérent pour pouvoir participer aux sorties.

    Nous vous attendons nombreux :) 

  • Retraite et handicap : le taux plein pour l’aidant dès 65 ans

     

    Les travailleurs ayant interrompu leur activité professionnelle pour devenir aidant familial ou tierce personne d’une personne handicapée peuvent bénéficier de la retraite à taux plein dès 65 ans, et non 67 ans. Idem pour ceux ayant accompagné leur enfant handicapé. Une récente circulaire vient de préciser les modalités de ce dispositif.

    Pour lire l'article dans son intégralité : cliquez ici  

  • Merci à tous ! Bonne nouvelle pour la pétition de Moulin

     Après des mois de désaccord et de mobilisation pour rendre accessible la délégation départementale de l'APF de l'Allier, une solution semble avoir enfin été trouvée avec la Mairie de Moulins qui jusqu'alors refusait l'installation d'une rampe sur l'espace public. Pour rappel, aucun argument technique ne justifiait ce refus puisque l'installation d'une rampe pour compenser une marche de 10 cm laissait encore un espace de trottoir de 2 m 80 et n'entravait donc en rien la circulation des piétons.

    La délégation disposait dans ce combat d'une forte adhésion de la population qui ne comprenait pas la décision politique de la Mairie. Forte de son réseau national, l'APF avait alors engagé une pétition sur le site Change.org et avait recueillie quelque 6 000 signatures.

    Le Maire de Moulins a reçu récemment les élus du Conseil APF de département de l'Allier afin de leur proposer un rehaussement du trottoir devant la porte de la délégation départementale.

    Les travaux devrait être réalisés courant janvier 2017.

    L'ensemble des acteurs de la délégation départementale de l'Allier tient à remercier toutes les personnes engagées dans cette lutte et qui ont ainsi permis par leur engagement de trouver une issue favorable à ce conflit.

    Notre, votre détermination à ne pas subir le chose mais d être des acteurs actifs de la politique inclusive du handicap a montrer, une fois encore, que tous unis, nous sommes capables de lever bien des obstacles et de faire évoluer les mentalités.

    Encore merci à tous pour votre soutien !!!

  • École et handicap : le Défenseur des droits fait encore et toujours la leçon

    Dans un récent rapport, le Défenseur des droits recense les problèmes récurrents que rencontrent toujours les élèves en situation de handicap et leurs parents pour faire valoir leur droit à la scolarisation. Il rappelle aussi les principes s’appliquant à l’école. Reste à savoir s’il sera entendu.

    « L’augmentation indéniable du nombre d’enfants handicapés scolarisés depuis 2005 ne saurait cacher les difficultés rencontrées dans leur accompagnement. » Ces « difficultés », le Défenseur des droits les détaille dans son rapport 2016 sur les droits de l’enfant, rendu public vendredi 18 novembre. Elles contribuent sans doute à expliquer que plus d’un élève handicapé sur deux quitte l’école ordinaire avant ses 10 ans.

    Il s’inquiète, entre autres, « des problèmes spécifiques rencontrés par les enfants autistes » pour bénéficier d’une scolarité en milieu ordinaire. Ou bien encore de la scolarisation à temps partiel non souhaitée. « La scolarisation à temps complet reste un droit, note-t-il. (…) La quotité horaire de présence en classe de l’enfant ne saurait être fondée sur des considérations d’organisation ou de charge de travail supplémentaire pour l’équipe éducative. »

    AVS notifié mais pas affecté

    Autre source importante de réclamations : l’accompagnement humain à l’école. La MDPH attribue, en effet, des heures d’auxiliaire de vie scolaire (AVS) aux élèves en ayant besoin. Or, régulièrement, le rectorat n’affecte pas cet AVS. Le Défenseur des droits est également saisi en raison « des changements fréquents » d’AVS, « ce qui peut être très insécurisant pour certains enfants handicapés ».

    Déscolarisation trop longue et manque d’AVS

    À ces problèmes s’ajoute le manque de places en établissements et services médico-sociaux. Cela a « pour conséquence le maintien de l’enfant au domicile familial avec pour corollaire une déscolarisation souvent très longue ».

    Autre répercusion : faute de pouvoir être accueilli en institut médico-éducatif, l’enfant est orienté en Ulis – une classe rassemblant des élèves handicapés au sein d’une école ordinaire – ou en classe ordinaire avec un accompagnement individuel. Les Ulis se retrouvent alors saturées et les académies ne parviennent pas à répondre aux demandes d’AVS.

    Un PPS indispensable mais mal utilisé

    Le projet personnalisé de scolarisation précise les mesures à mettre en place pour chaque enfant handicapé. Pour l’élaborer, l’équipe pluridisciplinaire de la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) est tenue d’évaluer les besoins de l’enfant. Elle doit le faire sur la base du guide d’évaluation des besoins de compensation en matière de scolarisation (Geva-Sco) renseigné par l’enseignant, les parents de l’enfant, etc.

    Or, « le GEVA-Sco est encore mal connu des professionnels de terrain, note le Défenseur des droits. D’autre part, lorsqu’il est utilisé, il est souvent seulement renseigné par l’enseignant. Parfois, les MDPH reprennent les préconisations contenues dans le compte-rendu de l’équipe de suivi de scolarisation sans évaluation de la situation de l’enfant. »

     

    Voyages scolaires inégalitaires

    Les voyages scolaires constituent, eux aussi, une source de litiges. « Ces situations sont mal anticipées par les équipes éducatives, ce qui ne permet pas toujours de trouver la solution la plus adaptée à l’enfant », souligne le Défenseur des droits.

    De plus, lorsque les aménagements à mettre en place entraînent des dépenses supplémentaires, l’école demande aux familles de payer. Or, « en vertu de l’article L.112.1 du Code de l’éducation, la prise en charge d’éventuels frais supplémentaires devrait être assurée par l’Éducation nationale. »

    Université mal accompagnée

    Dans l’enseignement supérieur, la situation s’avère encore plus préoccupante. « Le dispositif des accompagnants des élèves en situation de handicap, prévus par la loi et mis en place dans le primaire et le secondaire, n’est pas maintenu à l’université », regrette le Défenseur des droits.

    Seuls le BTS ou les classes préparatoires, se déroulant dans un lycée, permettent de continuer à en bénéficier. Certains étudiants handicapés ne sont donc pas en mesure de poursuivre leurs études. Ou alors, ils sont amenés à décider de leur orientation en fonction des accompagnements proposés. Un choix subi inacceptable. Franck Seuret

    Le périscolaire en questions

    Il n’y a pas que l’école dans la vie. Il y a aussi la cantine et les temps d’activités périscolaires. La participation des enfants handicapés soulève deux types de questions :

    – Qui doit payer les frais de transport entre le domicile et le lieu d’activité périscolaire ou entre l’établissement et la cantine pour les élèves ne pouvant utiliser les transports en commun en raison de leur handicap ? C’est au Conseil départemental de les prendre en charge, souligne le Défenseur des droits : « Un refus est illégal. »

    – Les enfants peuvent-ils bénéficier, si nécessaire, d’un AVS ? « Dès la rentrée 2015-2016, la Caisse nationale de solidarité pour l’autonomie a donné des instructions aux MDPH afin que les besoins d’accompagnement de l’enfant sur le temps périscolaire soient évalués dans le cadre du projet personnalisé de scolarisation », rappelle le Défenseur des droits.

    Source : faire face 

  • 1,2,3… handicap : des photos pour décomplexer le regard sur la différence

    Après deux premiers projets Vies en roue libre (2010) et Corps & Âmes (2013), le photographe Jean-Baptiste Laissard sort un nouvel ouvrage, 1,2,3… handicap, sur le thème “enfance et handicap”. Une manière de poursuivre son travail de sensibilisation à la différence.

    Pour prendre connaissance de son interview intégrale http://www.faire-face.fr/2016/12/14/123-photo-jean-baptiste-laissard/ (source Faire Face)

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  • HANDIDON

    Résultats du tirage régional PACA:


    Comme vous le savez, la campagne HANDIDON 2016 s’est achevée le 1er décembre dernier.
    Le 8 décembre à 15h, le tirage au sort pour la région PACA a eu lieu dans les locaux de la Direction
    Régionale, en présence entre autres d’élus du Conseil APF de Région et du Directeur Régional
    Monsieur Henri LE GOFF.
    Avec le concours de Maître THIRY, huissier de justice du cabinet d’études COUTANT & GALLIER à
    Aix-en-Provence qui nous a fait l’amitié de procéder au tirage au sort gracieusement, nous avons
    le plaisir de dévoiler les noms des gagnants :
    1er lot :
    La Smartbox de luxe pour 2 personnes d’une valeur
    de 500€ a été gagnée par Mme Denise GRISOLLE
    Bouches-du-Rhône
    2ème lot :
    Les 4 billets pour Disneyland Paris 1 jour/2 parcs
    d’une valeur de 360€ ont été gagnés par
    Mme Martine BUNEL
    Bouches-du-Rhône
    « Challenge » du meilleur vendeur :
    La tablette numérique sera remise à M. Jean-Marie ACCART qui a récolté 2040€
    Alpes-Maritimes
    Un grand merci à tous les acteurs qui se sont mobilisés,
    à Deguene ALIX qui a coordonné l’opération sur la région PACA
    et bravo aux vainqueurs !
    Tirage au sort national le 15 décembre 2016 au siège de l’APF à Paris.
    Les résultats seront disponibles sur le site www.apf.asso.fr.

  • Hammam accessible: Le concept est lancé!

    Le premier hammam accessible de France devrait ouvrir ses portes au premier trimestre 2017.

    Adepte des hammams, il s’est vu refusé l’entrée dans plusieurs d’entre eux à la suite d’un grave accident qui l’a rendu handicapé fin 2012 et l’a contraint à passer plusieurs mois dans un fauteuil roulant. C’est pourquoi Abdelkader Tadjer, 45 ans, habitant de Meaux (77) a décidé d’ouvrir son propre hammam accessible, en mettant un point d’honneur à le rendre utilisable par tous.

    Ainsi, il débutera dès l’automne prochain la construction cette nouvelle structure qui sera baptisée « M’eaux Spa 77 » et s’étendra sur une surface 370 m², à Meaux, dans la galerie des Halles d’Auchan – avec le soutien du groupe, qui adhère au projet. Il s’agira d’un hammam accessible, mixte, équipé de rampes d’accès, de sols antidérapants et de guidages en braille. L’aspect écologique sera également pris en compte avec un chauffage par géothermie et une sensibilisation des usagers à la consommation d’eau. Ouverture prévue au premier trimestre 2017.

    Abdelkader Tadjer a d’ores et déjà remporté le prix « Émergences » du concours « Talents des Cités » organisé dans sa région.

  • Le congé de proche aidant remplace le congé de soutien familial

    Le « congé de proche aidant » entrera en vigueur le 1erjanvier 2017.

    Il se substituera à l’actuel « congé de soutien familial ». Cette mesure, issue de la Loi du 28 septembre 2015 relative à l’adaptation de la société au vieillissement, vient d’être officialisée par le Décret n°2016-1554 du 18 novembre 2016.

    Congé de proche aidant/ Congé de soutien familial : Qu’est-ce qui va changer ?

    Le Décret du 18 novembre 2016 établit trois changements principaux :

    • Il élargit le champ des personnes autorisées à prendre un congé pour exercer leur rôle d’aidant. En effet, le congé de soutien familial s’adresse seulement aux salariés ayant un lien de parenté avec la personne aidée, ainsi qu’aux conjoints et aux concubins ayant contracté un PACS. Le congé de proche aidant s’adressera à ces mêmes personnes, mais il concernera aussi les « proches aidants sans lien familial et les aidants de personnes accueillies en établissement ». Le décret ajoute que le congé de proche aidant pourra également s’appliquer au salarié dans le cas d’une « aide apportée à une personne âgée ou handicapée avec laquelle il réside ou entretient des liens étroits et stables ».
    • Comme le congé de soutien familial, le congé de proche aidant reste un congé sans solde, d’une durée pouvant aller jusqu’à 3 mois et renouvelable une fois. Cependant, à la différence du congé de soutien familial, le congé de proche aidant pourra être fractionné et/ou transformé en périodes d’activité à temps partiel.
    • Le congé de proche aidant sera moins contraignant pour le salarié en termes de délai de prévenance de l’employeur. Alors que la demande de congé de soutien familial devait être adressée à l’employeur au minimum deux mois à l’avance (15 jours à l’avance dans des cas d’urgence), la demande de congé de proche aidant devra être adressée à l’employeur au minimum 48h à l’avance.

    Vous trouverez ici l’intégralité du Décret du 18 novembre 2016.

    Source: HANDIRECT