• Paratriathlon : un Français sacré champion du monde

    Le 15 septembre dernier, Alexis Hanquinquant a remporté le titre de champion du monde de paratriathlon. Un sacre après son titre de champion d’Europe en juin. Encore une victoire quatre ans seulement après son amputation.

    Champion de France 2017, champion d’Europe 2017 et désormais champion du monde de paratriathlon. Alexis Hanquinquant affiche un palmarès à faire pâlir plus d’un sportif. Et ce, alors que, quatre ans plus tôt, il était inconnu des compétitions handisport.

    Un parcours sans faute

    Son parcours, sans faute, cet originaire d’Yvetot (Seine-Maritime) le doit d’abord à sa détermination sans faille et son engagement exemplaire depuis son accident du travail en 2010, cause de son amputation au niveau du tibia en 2013.

    Pour lire l'article dans son intégralité : http://www.faire-face.fr/2017/09/20/paratriathlon-un-francais-sacre-champion-du-monde/

    Source : Faire Face

  • Enfants aveugles à l'école ? Trop de familles dans l'impasse

     Nous formons une équipe solide mais ne sommes plus en capacité de proposer un accompagnement, pourtant indispensable, à tous ceux qui nous contactent ». Patricia Zmudzinski est psychologue et coordinatrice remplaçante au Sessad (Services d'éducation spéciale et de soins à domicile) Voir ensemble de Montceau-les-Mines, en Saône-et-Loire. Ouvert en septembre 2014, ce service est spécialisé dans les enfants déficients visuels. Il compte deux enseignants, dont un qui maîtrise le braille. Ici, toutes les prises en charge se font à domicile. « Nous avons un agrément pour 14 jeunes mais avons atteint un effectif de 40 enfants », précise Patricia. Sans budget ni personnel supplémentaire, l'équipe a dû mettre en place une liste d'attente…

    Budget insuffisant

    À plusieurs reprises, Patricia et ses collègues ont interpellé l'ARS (Agence régionale de santé) pour tenter d'augmenter le nombre de places disponibles. Demande refusée à chaque fois. Le motif ? Pas d'argent ! Le Sessad, qui a atteint ses capacités maximales, reste pourtant sollicité par de nombreuses familles au quotidien. « Malgré notre investissement, nous sommes frustrés de ne pas pouvoir proposer mieux, faute de temps, confie Patricia. D'un côté, on enlève les AVS (assistants de vie scolaire) aux élèves et, de l'autre, on ne nous donne pas les moyens pour proposer suffisamment d'accompagnement. » La psychologue, qui travaille 17h30 par semaine, ne peut accompagner que trois jeunes par semaine puisqu'en zone rurale se rendre au domicile de la personne nécessite souvent une heure de trajet.

    Pour lire l'article dans son intégralité : https://informations.handicap.fr/art-ecole-sessad-aveugle-853-10179.php

    Source : Handicap.fr